Je ne pouvais pas dire Ă Suki Ya qui je suis Dessous de verre lot de 4Par Leo R HammVisage de dessin au trait abstrait minimaliste Dessous de verre lot de 4Par Kylee MasonFille & SĆur & Femme & MĂšre & Guitariste. Je suis juste moi! Fier Dessous de verre lot de 4Par mamichnyaC'est aussi ma maison - Queer Dessous de verre lot de 4Par PanicdotePour toi, je suis toutes les oreilles Dessous de verre lot de 4Par Zwembad VergelijkerFils&FrĂšre&Mari&PĂšre&Guitare. Je suis juste moi ! Fier Dessous de verre lot de 4Par mamichnyaAime toi toi-mĂȘme. Esprit positif. Profite de la vie. Dessous de verre lot de 4Par greencreamJ'ai Ă©tĂ© un Ă©tranger Ă moi-mĂȘme Dessous de verre lot de 4Par RayDustMosaĂŻque Just Arted Dessous de verre lot de 4Par frigamribe88Just Arted MosaĂŻque Vert Dessous de verre lot de 4Par frigamribe88Just Arted MosaĂŻque ColorĂ©e Dessous de verre lot de 4Par frigamribe88 J'ai essayĂ© si fort, mais je ne pouvais pas Dessous de verre lot de 4Par chopola-shop photographiĂ© et peint Ă l'aide d'une tablette et d'un stylet wacom dans photoshop youtube video_http // v = HqdDeesH3HA & feature = youtube_gdata_player * Mains par Jewel * Si je pouvais dire au monde une seule chose Ce se Dessous de verre lot de 4Par Karin TaylorL'Ă©tĂ© oĂč je suis devenue jolie Dessous de verre lot de 4Par Ahnaf AmmarJe ne suis pas bizarre, je suis juste plus crĂ©atif que toi, drĂŽle de cadeau de fille d'anime Dessous de verre lot de 4Par TheFirstOneL'Ă©tĂ© que j'aime joli Dessous de verre lot de 4Par Ahnaf Ammarouais je suis noir Dessous de verre lot de 4Par OmRBossQuand je suis mon cĆur, il me mĂšne Ă toi Dessous de verre lot de 4Par FamilyCustomn et quelle intensitĂ© signifie du positif au nĂ©gatif. Je suppose que je pourrais ĂȘtre un vĂ©ritable artiste Ă ce sujet Dessous de verre lot de 4Par WetdryvacRB01 et quelle intensitĂ© signifie du positif au nĂ©gatif. Je suppose que je pourrais ĂȘtre un vĂ©ritable artiste Ă ce sujet Dessous de verre lot de 4Par WetdryvacRB01Je ne suis pas bizarre, je suis juste plus crĂ©atif que toi Dessous de verre lot de 4Par frijaaidoJe suis debout, il me voit, je suis en bas Dessous de verre lot de 4Par faguostyleje suis mort Ă l'intĂ©rieur Dessous de verre lot de 4Par YounesxDesignGet Your Act Together, obtenir votre acte ensemble, agir ensemble Dessous de verre lot de 4Par FELTAJE SUIS UN GARS RAPIDE Dessous de verre lot de 4Par AstonaCroyez-moi, je suis un dogtor Dessous de verre lot de 4Par The-Best-Marketje suis Drake Dessous de verre lot de 4Par meanddesignN'abandonne pas, je suis avec toi pour toujours Dessous de verre lot de 4Par GeePixDesignje suis libre Dessous de verre lot de 4Par MAESTRO20Je suis diffĂ©rent, Dessous de verre lot de 4Par mapacs100Je suis un avocat pas un comĂ©dien Dessous de verre lot de 4Par BadrmarfakJe suis humain Dessous de verre lot de 4Par Digicraftedje suis Ă toi pas de retour saint valentin Dessous de verre lot de 4Par glad market â
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JE SUIS MĂDECIN Dessous de verre lot de 4Par roleshopQuand je suis mon cĆur, il me mĂšne Ă toi Dessous de verre lot de 4Par quamrulQuand je suis mon cĆur, il me conduit vers toi. Dessous de verre lot de 4Par mapacs100Je ne suis pas petit, je suis un elfe Dessous de verre lot de 4Par KoalaByszJe ne suis pas petit, je suis un gnome Dessous de verre lot de 4Par KoalaByszJe ne suis pas ivre, je suis journaliste sportif Dessous de verre lot de 4Par GrumpylikeJe ne suis pas elfe, je suis juste petit Dessous de verre lot de 4Par KoalaByszJe suis un Ă©crivain, je promets Dessous de verre lot de 4Par UpshirShoppJe ne suis pas ivre, je suis un agent de contrĂŽle des animaux Dessous de verre lot de 4Par Rockettecoolje suis debout il me voit je suis en bas Dessous de verre lot de 4Par Shop 4uje suis debout il me voit je suis en bas Dessous de verre lot de 4Par Shop 4uJe suis nĂ© comme ça. 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Dessous de verre lot de 4Par UpshirShoppJe suis un dragon de livre T-SHIRT CLASSIQUE, livre de dragon vintage Dessous de verre lot de 4Par ZED Storeperds-toi toi-mĂȘme, amour Dessous de verre lot de 4Par classybyclassyL'Ă©tĂ© oĂč je suis devenu sexy et je le sais Dessous de verre lot de 4Par wls212Je suis lĂ pour te casser les couilles Dessous de verre lot de 4Par pnkpopcornJe suis la raison pour laquelle nous sommes en retard Dessous de verre lot de 4Par Vicky Outfittersâą peinture Ă l'aquarelle je suis un papillon Dessous de verre lot de 4Par MXanwarJe suis aanjobs RĂ©dacteur sportif RĂ©dacteur sportif Je suis bon avec de meilleurs abdos Dessous de verre lot de 4Par SenoritaicoJe suis ton petit ami dans le passĂ© Dessous de verre lot de 4Par Frencoltdsois-tu toi pour toi Dessous de verre lot de 4Par BTS-ARMYStore
pare brise en milles morceaux, dans le garage !!! Pages : 1 #1 29-12-2013 11:58:17. yan82 Visiteur Assidu Lieu : Tarn-et-garonne Inscription : 22-10-2011 Messages : 217. pare brise en milles morceaux, dans le garage !!! bonjour a tous, alors voila, jeudi, je passe a coté de la Dyane, tout est normal. une minute aprÚs, j'entends comme un cliquetis de verre, et là , quelle
la suite Vihiers est une petite ville, la moitiĂ© brĂ»lĂ©e. Nous avons brĂ»lĂ© tous les villages en y allant depuis DouĂ© jusquâĂ Vihiers, oĂč nous avons arrivĂ©s Ă minuit bien fatiguĂ©s. Chacun sâest logĂ©. Comme il y a peu, nous avons fait ribote toute la nuit. Nous avions apportĂ© de quoi bouffer. Le vin Ă©tait pour rien dans lâauberge. La cuisson de mĂȘme. » Elie EYQUARD, volontaire de la Gironde, le 20 janvier 1794 Le fer et la flamme furent successivement employĂ©s, et bientĂŽt lâatmosphĂšre fut couverte des nuages Ă©pais dâune fumĂ©e dĂ©vastatrice. » Ă©crit Beaudesson, agent en chef des subsistances militaires. Pour des raisons de service, il est Ă©galement souvent prĂ©sent aux interrogatoires Ă Cholet, oĂč siĂšge lâĂ©tat-major. Les anciens insurgĂ©s, remarque-t-il, dĂ©clarent avoir agi sous la contrainte, et beaucoup disent dâĂȘtre rendus dans lâespoir du pardon. Plus dâun, dâailleurs, comparaĂźt avec cet Ćil serein et tranquille quâinspire lâinnocence ». Quant aux femmes, pour sauver leurs maris et leurs enfants, elles prennent volontiers sur elles des fautes dont Ă lâĂ©vidence elles ne sont pas coupables. QuâĂ cela ne tienne, aprĂšs ces simulacres dâinterrogatoires, sur les ordres verbaux de lâĂ©tat-major », on ordonne de lâĆil de fusiller les prĂ©venus », les rassurant toutefois en leur faisant croire quâil vont ĂȘtre conduits Ă lâhĂŽpital » ou Ă lâambulance ». Tout le pays, conclu-il, Ă©tait jonchĂ© de cadavres. » Alain GERARDRapport des reprĂ©sentants Hentz et Francastel Vous pouvez ĂȘtre assurĂ©s que la VendĂ©e est un dĂ©sert et quâelle ne contient pas 12 000 personnes vivantes. » Nous ferons de la France un cimetiĂšre plutĂŽt que de ne pas la rĂ©gĂ©nĂ©rer Ă notre façon. » CARRIER Câest par principe dâhumanitĂ© que je purge la terre de la LibertĂ© de ces monstres. » CARRIER Je fais tous mes efforts pour dĂ©truire tout ce qui attente Ă la libertĂ©, mais il y a encore des hommes humains, et en rĂ©volution, câest un dĂ©faut selon moi. » GĂ©nĂ©ral ROSSIGNOL in Par principe dâhumanitĂ© âŠ. Alain GĂ©rard 1999 En faisant Ă©vanouir ces gĂ©nĂ©rations entiĂšres pour le bonheur de la patrie, Ă©crit Turreau, rien ne pourrait faire tolĂ©rer des mesures barbares, inhumaines et scĂ©lĂ©rates, exercĂ©es sur un seul individu. Il faudrait accompagner encore de compassion et de pitiĂ© cette exĂ©cution terrible, mais nĂ©cessaire Ă lâaffermissement de la RĂ©publique, et ne pas accroĂźtre le malheur de sây trouver rĂ©duit par la souillure des remords ». En somme, Turreau nâa pas trop massacrĂ© il nâa pas assez aimĂ©. Il nâa pas Ă©tĂ© le digne instrument du massacre humanitaire. » Alain GERARD Jâai Ă©crasĂ© les enfants sous les pieds des chevaux, massacrĂ© des femmes qui, au moins pour celles-lĂ , nâenfanteront plus de brigands âŠ. Nous ne faisons pas de prisonniers, il faudrait leur donner le pain de la libertĂ©, et la pitiĂ© nâest pas rĂ©volutionnaire. » GĂ©nĂ©ral WESTERMANN au ComitĂ© de Salut Public. Refaisons lâaddition des pertes dues Ă la RĂ©volution, et Ă lâEmpire 400 000 morts pour les guerres jusquâen 1800 ; un million pour les guerres napolĂ©oniennes ; 600 000 pour les guerres intestines ; et lâĂ©chafaud pour mĂ©moire. VoilĂ nos deux millions de morts. » RenĂ© SEDILLOT Il faut Ă©touffer les ennemis intĂ©rieurs de la RĂ©publique ou pĂ©rir avec elle ; or, dans cette situation la premiĂšre maxime de votre politique doit ĂȘtre quâon conduit le peuple par la raison et les ennemis du peuple par la terreur ⊠Cette terreur nâest autre chose que la justice prompte, sĂ©vĂšre, inflexible. » ROBESPIERRE Ce qui constitue une rĂ©publique, câest la destruction totale de tout ce qui lui est opposĂ©. » SAINT JUST Il faut sauver les valeurs de la RĂ©publique. » Jacques CHIRAC Ă©lections prĂ©sidentielles 2002 Si mes intentions sont bien secondĂ©es, il nâexistera plus dans la VendĂ©e, sous quinze jours, ni maisons, ni subsistances, ni armes, ni habitants que ceux qui, cachĂ©s dans le fond des forĂȘts, auront Ă©chappĂ©s aux plus scrupuleuses perquisitions. » TURREAU Un volontaire confessera avoir vu massacrer sept femmes, dont lâune fut transpercĂ©e du mĂȘme coup que le nourrisson quâelle tenait dans ses bras. Cette action, insiste-t-il fut applaudie par son commandant. Entre Aizenay et Venansault, le gendarme Charrier a pour sa part comptĂ© au moins cent femmes et enfants, massacrĂ©s et coupĂ©s en morceaux », et parmi eux, un enfant qui palpitait encore prĂšs de sa mĂšre ». En rĂ©alitĂ© cependant, la troupe ne fait quâobĂ©ir aux ordres. » Alain GERARD Il nây a pas 4 000 Ăąme Ă sa suite de Charette, embarrassĂ© par ceux qui cherchent protection auprĂšs de lui, comptant femmes, enfant, vieillards, car tout sâen mĂȘle et je tue tout. » DUTRUY au ComitĂ© de salut public On balaye avec le canon le sol de la VendĂ©e, on le purifie avec le feu ; on trie sa population, on Ă©pure ses principes, on Ă©labore lâesprit public. ⊠La rĂ©bellion nâa plus aucune consistance, et plus de 150 000 personnes ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© dĂ©truites. Cependant les habitants restants, au nombre de 15 Ă 25 000, sont devenus enragĂ©s, et ce sont tout particuliĂšrement les femmes et les enfants qui exercent des cruautĂ©s inouĂŻes sur nos volontaires. La guerre de VendĂ©e ne sera complĂštement terminĂ©e que quand il nây aura plus un habitant dans la VendĂ©e » reprĂ©sentants Hentz et Garrau Les femmes, les enfants, les vieillards, les individus entraĂźnĂ©s par la violence ne mĂ©ritent sans doute par le mĂȘme sort que les monstres qui ont ourdi la rĂ©volte, mais il sâagit lĂ dâune indulgence absurde et meurtriĂšre. » CARNOT La race dâhommes qui habite la VendĂ©e est mauvaise ; elle est composĂ©e ou de fanatiques, qui sont le peuple, ou de fĂ©dĂ©ralistes, qui sont les messieurs. Ce qui prouve que la race est mauvaise ; câest quâil y a si peu de bons quâils nâont pas contenu les rebelles. » ReprĂ©sentants Hentz et Francastel La Monarchie ne visait au pire, quâĂ interdire certaines façons de penser, attitude dĂ©plorablement autoritaire, on en convient. La RĂ©volution, elle, sâefforça dâimposer certaines façons de penser les siennes, ce qui est une attitude totalitaire. Elle Ă©tait seule Ă dĂ©tenir la vĂ©ritĂ© elle avait donc tous les droits. Il faut ici lui rendre hommage pour avoir pratiquĂ© une cohĂ©rence absolue. Puisquâelle Ă©tait dans le vrai, elle devait, elle se devait, elle devait Ă la France de lui imposer ce vrai et elle allait prendre tous les moyens nĂ©cessaires pour le faire, entre autres truquer lâHistoire, ce qui est particuliĂšrement patent dans le traitement infligĂ© Ă la VendĂ©e. Ce trucage, on ne devait sâen apercevoir que deux siĂšcles plus tard Ă la faveur du bicentenaire, notamment grĂące aux travaux de Pierre Chaunu, de Xavier Martin, de Reynald SĂ©cher, de Jean de Viguerie, qui se sont attachĂ©s, chacun Ă sa façon, Ă dĂ©noncer le gĂ©nocide franco-français » de la VendĂ©e qui a coĂ»tĂ© plus dâun demi-million de vies Ă la France et que pendant deux cents ans les historiens ont rĂ©ussi Ă escamoter. » VLADIMIR VOLKOFF Cette guerre de brigands, de paysans, sur laquelle on a jetĂ© tant de ridicule, que lâon dĂ©daignait, que lâon affectait de regarder comme si mĂ©prisable, mâa toujours paru pour la RĂ©publique comme la plus grande partie, et il me semble maintenant quâavec nos autres ennemis nous ne ferons que peloter » GĂ©nĂ©ral BEAUPUY Mes opĂ©rations militaires vont Ă grands pas ; tous les jours des arrestations, la guillotine en permanence, des scĂ©lĂ©rats suppliciĂ©s, des accaparements dĂ©couverts, voilĂ quel en est le rĂ©sultat continuel. » CARRIER CâĂ©tait une battue gĂ©nĂ©rale pour exterminer, en sâavançant, toute la population, incendiant en mĂȘme temps, bourgs, villages, chĂąteaux, sans Ă©pargner les plus misĂ©rables masures. Une fumĂ©e noire et Ă©paisse sâĂ©levait dans lâair, qui devenait rouge et embrasĂ© Ă mesure que la destruction sâĂ©tendant dans la campagne ; cette fumĂ©e, sâunissant aux nuages, formait comme une barriĂšre qui interceptait la vue du ciel ; il semblait que la terre en Ă©tait sĂ©parĂ©e par le crime. Ce systĂšme de massacre et dâincendie gĂ©nĂ©ral, commença par glacer tout le monde dâĂ©pouvante et de terreur ; on ne peut exprimer ce que chacun ressentait ⊠à force de penser, on ne pensait plus. » Madame de la BOUERE Vous avez dans les lois, tout ce quâil faut pour exterminer lĂ©galement nos ennemis ». ROBESPIERRE Il nây a plus que deux partis en France, le peuple et ses ennemis. Il faut exterminer tous ces ĂȘtres vils et scĂ©lĂ©rats, qui conspirent Ă©ternellement contre les droits de lâhomme et contre le bonheur de tous les peuples. » ROBESPIERRE Cette piste qui sâouvre devant nous est notamment susceptible de rendre compte de lâextermination des vendĂ©ens, aprĂšs leur dĂ©faite. Dans une guerre classique, les objectifs sont politiques et militaires, et Ă relativement court terme la dĂ©faite de lâun arrĂȘte le bras de lâautre. Mais lorsque lâidĂ©ologie est au pouvoir, la victoire ne constitue pas une fin, mais un moyen, celui de supprimer la preuve du mensonge de lâidĂ©ologie. Il nây a plus face Ă face que des bourreaux et des victimes. Et quand celles-ci ont pĂ©ri, les tueurs nâarrĂȘtent pas pour autant leur besogne. TĂ©moins les uns les autres de leur construction mensongĂšre, ils se suspectent et cherchent rĂ©ciproquement leur Ă©limination. Et au bout du compte, il ne reste plus quâun systĂšme, un jour ou lâautre forcĂ© de sâarrĂȘter faute de chair humaine⊠Pour pouvoir, en toute bonne conscience, massacrer le peuple rĂ©el, il faut ĂȘtre bardĂ© de la certitude dâaimer le Peuple, dâĆuvrer pour le bonheur futur dâun peuple fictif. LâidĂ©ologie permet la Terreur. Et en retour la Terreur protĂšge lâidĂ©ologie contre les dĂ©mentis du rĂ©el » Alain GERARD Le 27 janvier, Lachenay fait fusiller indistinctement, dans lâĂ©glise de La Meilleraie, hommes et femmes, patriotes et rebelles. Huit jours plus tard, mĂȘme opĂ©ration Ă lâencontre de 27 personnes. Le 28, Caffin Ă©crit Ă Turreau quâil vient de faire fusiller 14 femmes. » Alain GERARD On viola les femmes et mĂȘme trente passĂšrent sur une ; soixante ans, un Ćil pochĂ© et dâautres dĂ©sagrĂ©ments nâen exemptĂšrent pas une autre ». A Pouzauges, Grignon et lâĂ©tat-major vont prendre le cafĂ© au chĂąteau avec de jolies prisonniĂšres, puis quatre dâentre elles, violĂ©es, sont fusillĂ©es. On incendia, conclut notre tĂ©moin, forcĂ© dâaccompagner la colonne, on pilla depuis La FlocelliĂšre jusquâaux herbiers. Dans lâespace dâune lieue, on suivait la colonne autant Ă la trace des cadavres quâelle avait faits, quâĂ la lueur des feux quâelle avait allumĂ©s. » Alain GERARD Il faut que la VendĂ©e soit anĂ©antie parce quâelle a osĂ© douter des bienfaits de la LibertĂ© » DĂ©cembre 1793 â lettre des reprĂ©sentants en mission au gĂ©nĂ©ral Haxo Câest par principe dâhumanitĂ© que je purge la terre de la LibertĂ© de ces monstres » CARRIER Ecrasez totalement cette horrible VendĂ©e » DEMBARRIERE Il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes et frapper avec eux leurs pĂšres, leurs femmes, leurs sĆurs et leurs enfants » TURREAU Il nây a que des brigands dans la VendĂ©e, je veux tous les exterminer, et aujourdâhui, jâai fait fusiller plusieurs municipaux en Ă©charpe. » GRIGNON Les femmes, raconte Barrion, Ă©taient violĂ©es, pillĂ©es, mutilĂ©es » par ceux-lĂ mĂȘme auxquels elles avaient prĂ©parĂ© leur souper. » Ces enfants ont sucĂ© un mauvais lait ; le sang qui coule dans leur veines est de toute impuretĂ©. » BACHELIER Je vois une multitude incalculable dâenfants, tĂ©moigne Marie Ervin, une marchande qui est venue pour en recueillir ; dans une salle, il y en avait plus de 300 qui nâattendaient que le moment dâexpirer ». IncommodĂ©e par les exhalaisons fĂ©tides », elle reste prudemment Ă lâentrĂ©e dâoĂč elle tente de les attirer, leur disant quâelle leur veut du bien. Il nâen vient que six ; ils pouvaient Ă peine se remuer. Peu de temps aprĂšs, ajoute-t-elle, je retourne Ă lâEntrepĂŽt ; il nây avaient plus dâenfants ; ils avaient Ă©tĂ© noyĂ©s. » Dumais, le gardien de lâentrepĂŽt, est tout aussi formel. tous les enfants de lâentrepĂŽt ont Ă©tĂ© enlevĂ©s, ainsi que les femmes, dont une douzaine nâont point paru devant nous, Ă©crit-il le 3 fĂ©vrier Ă la commission militaire ; tous ces individus ont Ă©tĂ© conduits dans un bateau. » Alors, combien ? Le mĂ©decin Georges Thomas, qui nâa rien dâun rĂȘveur, parle de 400 Ă 500 enfants de moins de quinze ans. Pour trancher, il faudrait disposer du registre, et celui-ci nâa, et pour cause, Ă©videmment jamais existĂ©. » Alain GERARD Le comitĂ© a pris des mesures qui tendent Ă exterminer cette race rebelle des vendĂ©ens⊠Câest Ă Mortagne, Ă Cholet, Ă ChemillĂ©, que la mĂ©decine politique doit employer les mĂȘmes moyens et les mĂȘmes remĂšdes. » BARERE Jâai vu les volontaires conformĂ©ment aux ordres Ă eux donnĂ©s, se jeter les enfants de mains en mains, les faire voler de baĂŻonnette en baĂŻonnette, incendier les maisons, et brĂ»ler des enfants de quatorze ans. » MĂ©decin Georges THOMAS Le 1er dĂ©cembre 1793 AussitĂŽt que la nouvelle de la prise de Noirmoutier me sera parvenue, jâenverrai un ordre impĂ©ratif aux gĂ©nĂ©raux Dutruy et Haxo de mettre Ă mort dans tous les pays insurgĂ©s tous les individus de tout sexe qui sây trouveront indistinctement, et dâachever de tout incendier ; car il est bon que vous sachiez que ce sont les femmes avec les prĂȘtres qui ont fomentĂ© et soutenu la guerre de la VendĂ©e, que ce sont elles qui ont fait fusiller nos malheureux prisonniers, qui en ont Ă©gorgĂ© beaucoup, qui combattent avec les brigands et qui tuent impitoyablement nos volontaires, quand elles en rencontrent quelques-uns dĂ©tachĂ©s dans les villages. Câest une engeance proscrite, ainsi que tous les paysans, car il nâen sera pas un seul qui nâait portĂ© les armes contre la RĂ©publique, dont il faut absolument et totalement purger son sol. » CARRIER Un dĂ©partement dont tous les habitants doivent ĂȘtre fusillĂ©s nâa pas besoin de subsistances. » CARRIER Il entre dans mes projets, Ă©crit Carrier, et ce sont les ordres de la Convention nationale, dâenlever toutes les subsistances, les denrĂ©es, les fourrages, tout, en un mot de ce maudit pays ; de livrer aux flammes tous les bĂątiments, dâen exterminer tous les habitants, car je vais incessamment tâen faire passer lâordre. » Ainsi donc, la rhĂ©torique maximaliste a-t-elle fini par englober tous les habitants de la VendĂ©e, les patriotes comme les rebelles, dans une commune exĂ©cration, et par les vouer indistinctement Ă lâextermination. Alain GERARD 1999 in Par principe dâhumanitĂ© ⊠Pour moi, bien pĂ©nĂ©trĂ© des devoirs que mâimposent la vĂ©ritable justice et le bonheur du peuple, je remplirai ma mission toujours avec la mĂȘme inflexibilitĂ©. La VendĂ©e sera dĂ©peuplĂ©e, mais la RĂ©publique sera vengĂ©e et tranquille. » CARRIER LâinfĂąme VendĂ©e est la proie des flammes et devient un monument durable Ă la toute-puissance nationale. » FRANCASTEL Vous qui avez portĂ© le nom dâarmĂ©e infernale, je vous conjure, au nom de la Loi, de mettre le feu partout et de nâĂ©pargner personne, ni femmes ni enfants, de tout fusiller, de tout incendier.⊠Il faut tout exterminer, tout incendier ; des soldats vraiment rĂ©publicains ne doivent jamais se laisser Ă©mouvoir par une fausse pitiĂ©, rien de plus beau que de savoir sacrifier tous sentiments humains Ă la vengeance nationale. » CARRIER SĂ»r de son impunitĂ©, Pinard continue donc de sĂ©vir, le 7 Janvier Ă la tĂȘte dâun dĂ©tachement de Noirs amĂ©ricains sic. ⊠Le 18 fĂ©vrier, sept brigandes de dix-huit Ă vingt-deux ans, belles comme des amours », tĂ©moigne le miroitier Cormeray, sont capturĂ©es par la bande. Vers minuit, les volontaires, alertĂ©s par des cris, font irruption dans une Ă©curie, oĂč ils dĂ©couvrent cinq noirs occuper Ă violer leurs prisonniĂšres. Ce sont nos esclaves, nous les avons gagnĂ©es Ă la sueur de notre front », expliquent-ils aux intrus qui, sous la menace, doivent se retirer. Quant Ă Pinard, il force la sienne Ă confirmer quâelle est lĂ de son plein grĂ©. Trois jours durant, rapporte Cormeray, il les prostitua Ă 600 hommes de force armĂ©e qui Ă©taient en garnison Ă Vue. Dans un jour, il passa sur le corps dâune fille plus de 100 hommes ; elle ne pouvait plus marcher et devint imbĂ©cile, et les autres de mĂȘme. Et quelques jours aprĂšs, pour mettre le comble Ă leurs forfaits, ils les firent fusiller. ⊠En regard de ces horreurs, on peut placer celles commises par un certain Jean DhĂ©ron, un tailleur devenu inspecteur des vivres militaires. AprĂšs la bataille de Clisson, tĂ©moigne la poissonniĂšre Jeanne Lallier, il se prĂ©sente Ă la sociĂ©tĂ© populaire, lâoreille dâun VendĂ©e attachĂ©e Ă son chapeau, les mains pleines de parties gĂ©nitales quâil avait eu la cruautĂ© dâarracher aux brigands en les massacrant », terribles trophĂ©es dont il sâamuse Ă importuner les femmes. » » Alain GERARD 1999 in Par principe dâhumanitĂ© ⊠Il nous faut des hommes rĂ©volutionnaires quâune fausse pitiĂ© nâamollit pas. Indulgence, oubli du passĂ©, compassion, sensibilitĂ©, tous ces beaux noms ne recouvrent que faiblesse, modĂ©rantisme et perfidie. ⊠Je compte sur vous. Je connais vos principes, vote inflexibilitĂ© rĂ©publicaine, votre intention immuable de purger, de saigner jusquâau blanc la gĂ©nĂ©ration vendĂ©enne. » FRANCASTEL Tous les brigands sur la rive droite de la Loire sont enfin exterminĂ©s âŠ. Nous en avons fait une boucherie telle quâon nâen entendra plus parler. » CARRIER Au cours dâun dĂźner sur les Champs-ĂlysĂ©es, Carrier livre ce qui paraĂźt constituer lâĂ©tat de ses rĂ©flexions. Le gouvernement, explique-t-il Ă ses interlocuteurs, a fait le compte de la population nationale, et a jugĂ© quâil Ă©tait impossible de nourrir tant de monde. Ainsi le reprĂ©sentant reprend-il, Ă frais nouveaux, lâantique hantise du pacte de famine, rĂ©currente sous lâAncien RĂ©gime. Et du mĂȘme coup tout ce quâil a fait dâinnommable, dâimpensable Ă Nantes trouve lĂ une justification rationnelle. Il fallait donc, poursuit-il, faire passer la population de la France de 1 000 habitants par lieue carrĂ©e Ă 700. ⊠Câest lĂ quâil en vient au fond de sa pensĂ©e, que tout ce dĂ©lire ne sert quâĂ justifier. Les riches, assure-t-il, nâaimeront jamais les sans-culottes, et il faut donc niveler la population » ; VoilĂ le maĂźtre mot, qui est la condition mĂȘme de lâĂ©tablissement dâune RĂ©publique parfaitement Ă©galitaire, parfaitement dĂ©mocratique, c'est-Ă -dire totalitaire, quâil appelle de ses vĆux. En vue de cet avĂšnement, il convient de gĂ©nĂ©raliser ce quâil a commencĂ© Ă Nantes, autrement dit, poursuit-il, de trier les hommes et dâen retrancher une certaine portion les nobles, les magistrats, les prĂȘtres, les agents de change, les nĂ©gociants, les ennemis prĂ©sumĂ©s les plus prononcĂ©s du peuple. » Propos de visionnaire, quâil conclut par une prophĂ©tie dâune merveilleuse luciditĂ©. Cependant, confesse-t-il, je crois que nous serons tous guillotinĂ©s les uns aprĂšs les autres. » ainsi, Ă lâen croire, la dĂ©mocratie pure conduit au nĂ©ant. » Alain GERARD DĂ©sormais, la commission ne sâembarrasse mĂȘme plus de lâaide du comitĂ© rĂ©volutionnaire, elle se fait apporter les registres dâĂ©crou et statue sĂ©ance tenante. Au milieu du mois, presque pas de jugements, seulement des tueries massives, aux Ponts-de-CĂ©, dâenviron 1 500 personnes, et Francastel donne lâordre de ne pas Ă©tablir de procĂšs-verbal. Puis la lĂ©galitĂ© rĂ©volutionnaire reprend du service. Le 23 dĂ©cembre, 73 captifs sont immolĂ©s, le lendemain 75. Le 26, on tente de vider les prisons 203 fusillĂ©s. Au total, cette commission compte Ă son palmarĂšs 1 169 victimes, dont 36 femmes. Auxquelles il faut Ă©videmment ajouter les exĂ©cutions sommaires, qui reprennent les 1er, 2 et 8 fĂ©vrier 1794, Ă lâencontre de 293 hommes et 465 femmes. ⊠Le Tribunal rĂ©volutionnaire de Nantes et les commissions militaires ont, de la lĂ©galitĂ©, conservĂ© au moins les apparences, couchant sur leurs registres lâinterminable liste de leurs victimes avant de les livrer aux fusillades. Et ces donnĂ©es en elles-mĂȘmes sont fort instructives. De mars 1793 Ă dĂ©cembre 1794, 4 333 personnes seraient ainsi passĂ©es entre leurs mains, et les organes officiels de la Terreur nantaise en auraient immolĂ© 2 763, soit deux sur trois. ⊠La commission Bignon, outre ses exploits Ă Savenay, prononce 2759 jugements qui Ă©pargnent Ă peine une personne sur vingt. ⊠Du 29 dĂ©cembre au 8 fĂ©vrier, en onze sĂ©ances, elle fait exĂ©cuter 1 580 prisonniers, soit une moyenne de 144 par jour, avec une pointe Ă 289. ⊠LâexĂ©cution, les 18 et 19 janvier, de 106 femmes, la plupart ĂągĂ©es de quinze Ă dix-huit ans, et dont les corps dĂ©vĂȘtus ne sont, trois jours aprĂšs, toujours pas enterrĂ©sQue peut-on en dĂ©duire ? ConformĂ©ment aux vĆux clairement exprimĂ©s par les reprĂ©sentants, ils sâagit moins de juger les hommes que dâeffacer une engeance que la rhĂ©torique exterminatrice a depuis longtemps dĂ©jĂ soustraite Ă lâhumanitĂ© rĂ©dimable. Mais quâon ne croie pas pour autant Ă une tuerie mĂ©ticuleusement programmĂ©e par ceux quâon hĂ©site Ă appeler des responsables politiques. Alors quâune seule institution aurait pu suffire, voilĂ en effet que prolifĂšrent les organes de mort. »Alain GERARD 1999 in Par principe dâhumanitĂ© Saint-Just fait en effet le constat que la France manque de matiĂšres premiĂšres pour habiller les soldats et les officiers. Il a donc lâidĂ©e de prendre la matiĂšre premiĂšre lĂ oĂč elle est. On va ainsi monter en VendĂ©e des ateliers militaires de tanneries de peaux humaines. Il y en a une qui a sĂ©vi aux Ponts-de-CĂ© et qui a Ă©tĂ© parfaitement dĂ©crite par des contemporains dans un rapport que jâai retrouvĂ©. Je peux donc vous dire comment on dĂ©piautait les vendĂ©ens, comment on les scalpait, comment on coupait les sexes des hommes pour les arborer comme mĂ©dailles afin de montrer le nombre de gens que lâon avait tuĂ©s dans la journĂ©e. Ce sont de vĂ©ritables litanies de lâhorreur. » Reynald SECHER LâidĂ©e dâexterminer la VendĂ©e revient, sans aucun doute, Ă BarĂšre. Il lâa Ă©noncĂ©e synthĂ©tiquement dans un mot lancĂ© au hasard dâun discours au mois dâavril 1793 Exterminons les VendĂ©ens »La Convention vote trois premiĂšre, qui date du 1er aoĂ»t 1793 est la loi dâanĂ©antissement elle prĂ©voit la destruction systĂ©matique de lâhabitat, des bois, des forĂȘts, des entreprises deuxiĂšme Loi, du premier octobre 1793, dĂ©cide lâextermination des brigands vendĂ©ens » ⊠de toute la population rĂ©sidant en VendĂ©e militaire, bleus et blancs confondus, y compris les femmes sillons reproducteurs » et les enfants, futurs brigands » qui, sâils survivaient, pourraient ĂȘtre animĂ©s du juste dĂ©sir de revanche ».La troisiĂšme Loi dĂ©cide de dĂ©baptiser solennellement la VendĂ©e pour lâappeler dĂ©partement problĂšme est que les vendĂ©ens sont de tellement mauvais rĂ©volutionnaires quâils refusent de se laisser tuer, et pire, quâils se dĂ©fendent ! De plus, on nâa pas les moyens de la solution dĂ©finitive, finale. Alors, on va recourir Ă diffĂ©rends premiĂšre phase est la phase chimique. On dĂ©cide dâabord de gazer la population vendĂ©enne ⊠Mais lâexpĂ©rience est dĂ©cevante Ni les moutons sur lesquels lâexpĂ©rience a Ă©tĂ© faite, ni les conventionnels prĂ©sentes â note le rapport â nâont Ă©tĂ© incommodĂ©s » !Devant ces Ă©checs, une deuxiĂšme idĂ©e, Ă©mise par le gĂ©nĂ©ral Santerre, celui qui a fait battre les tambours lors de lâexĂ©cution de Louis XVI il sâagirait de miner systĂ©matiquement le territoire vendĂ©en. Mais le grand problĂšme est que lâon nâa pas rĂ©ussi Ă crĂ©er la mine sĂ©lective, et les mines explosent aussi bien sous les soldats bleus que sous les vendĂ©ens. On arrĂȘte donc lâ troisiĂšme idĂ©e est due Ă Carrier câest lâempoisonnement de lâeau, du pain et de lâalcool avec de lâarsenic. Y a-t-il eu un dĂ©but dâexĂ©cution ? Je lâignore. Mais Savin, lieutenant de Charrette, saisira un certain nombre de fourgons bourrĂ©s dâarsenic et se posera la question de leur mĂ©thodes scientifiques et techniques ayant Ă©chouĂ©, les troupes chargĂ©es de lâextermination se rĂ©signent Ă utiliser les moyens empiriques, artisanaux. Elles en retiennent cinq la guillotine, moyen mĂ©canique ; les sabrades on met les vendĂ©ens en file indienne et on les tue Ă coup de sabres et de baĂŻonnettes ; lâĂ©clatement des crĂąnes Ă coups de crosses ; les fusillades ; les noyades spĂ©cialitĂ© de Carrier Ă NantesMais tout ceci est trĂšs coĂ»teux. ⊠Bien sĂ»r, on sâindemnise en arrachant les dents, en coupant les cheveux, en vendant les vĂȘtements mais câest insuffisant par rapport au coĂ»t gĂ©nĂ©ral des un plan dâextermination efficace, rapide et peu coĂ»teux sera la mission de Turreau, gĂ©nĂ©ral en chef des armĂ©es de lâouest. On lui demande de rĂ©diger un plan gĂ©nĂ©ral dâextermination. Turreau, qui est un bon militaire, ne se pose aucune question, rĂ©dige son plan et lâenvoie en double exemplaire aux autoritĂ©s politiques et aux autoritĂ©s militaires. Nous en avons lâ plan est tout Ă fait simple et se fonde sur trois structures PremiĂšre structure, les colonnes infernales. Il sâagit de sillonner la VendĂ©e militaire avec des colonnes et de tuer, de dĂ©truire tout, conventionnels avaient votĂ© une loi qui exigeait que chaque gĂ©nĂ©ral, de maniĂšre quotidienne, envoie un double rapport au pouvoir politique et au pouvoir militaire. On a dĂ©truit les rapports politiques mais on a oubliĂ© de dĂ©truire les rapports militaires on les a dĂ©posĂ©s aux archives militaires, c'est-Ă -dire au fort de Vincennes, oĂč ils sont encore Ă lâheure actuelle pour leur majeure structure, la flottille sur la Loire. ⊠Elle va ĂȘtre employĂ©e Ă lâextermination de la population riveraine du fleuve. Nous avons Ă©galement retrouvĂ© les rapports des commandants de structure, la commission de subsistance, dont la finalitĂ© est de piller systĂ©matiquement la VendĂ©e. Ce sera un moyen de secourir Paris affamĂ© et aussi de remplir les poches de certains conventionnels parisiens !En termes de bilan, on peut estimer que sur une population de 815 000 habitants, un minimum de 117 000 personnes a disparu. Un habitant sur sept. Et peut-ĂȘtre beaucoup plus. Mais câest un chiffre en dessous duquel on ne peut aller. On a pu aussi vĂ©rifier que lâidĂ©e qui avait Ă©tĂ© avancĂ©e par les Conventionnels dâexterminer de prĂ©fĂ©rence les femmes, sillons reproducteurs », et les enfants futurs brigands », avait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. En effet, on a fait des sondages Ă La Chapelle Basse mer, Ă la RemaudiĂšre, aux Lucs-sur-Boulogne. Ils vont tous dans le mĂȘme sens 60,70, 80 % des tuĂ©s sont des femmes et des enfants. » » Reynald SECHER La VendĂ©e, Babeuf lâexplique trĂšs bien, nâĂ©tait quâun laboratoire on vient de dĂ©couvrir un document qui avait prĂ©vu lâextermination de la Bretagne et des Bretons Ă partir de mai 1794. » Vladimir VOLKOFF Les rĂ©formateurs de Paris apparaissaient aux paysans de lâouest comme les destructeurs de tout un ordre traditionnel, sans lequel ils ne pouvaient concevoir mĂȘme leur vie quotidienne. Et si nous voulons bien nous souvenir quâau cours de lâAncien RĂ©gime le patriotisme, pour les français, avait Ă©tĂ© plus vĂ©cu que dĂ©fini, si nous voulons nous souvenir que ce patriotisme Ă©tait formĂ© essentiellement de lâobĂ©issance fidĂšle Ă des traditions, au lieu de sâexprimer dans un concept abstrait, il nous faut bien conclure que le sursaut des VendĂ©ens Ă©tait, Ă son origine, la rĂ©volte du patriotisme instinctif, du patriotisme rĂ©aliste, contre lâhypocrite construction thĂ©oricienne du gouvernement parisien. » Marie-Madeleine MARTIN De fait, les gouvernements ne montrent pas tous ni beaucoup de hĂąte ni dâapplication Ă rĂ©duire Ă nĂ©ant les legs des temps de tyrannie. Danton, champion de lâaudace en chambre, occupe toujours la place de lâOdĂ©on et la ville de Versailles qui nâa pas gardĂ© une seule effigie dâun roi de France dressĂ© en un lieu public, honore le gĂ©nĂ©ral Hoche par une statue joliment situĂ©e face Ă lâĂ©glise Notre-Dame, entourĂ© de beaux parterres de fleurs. Les Ă©diles de lâan 1832, initiateurs responsables de cette complaisance pour lâenfant du pays, lâont immortalisĂ© par une suite dâinscriptions qui, sur les quatre cĂŽtĂ©s du socle disent ce que la patrie a perdu de voir mourir si jeune, Ă lâĂąge de vingt six ans, ce pacificateur de la VendĂ©e. On y lit que sâil eu vĂ©cu, sa gloire toujours croissante nâeĂ»t jamais rien coĂ»tĂ© Ă la libertĂ© de sa patrie » et que hĂ©ros citoyen, son nom est pur autant quâimmortel ». Lâan 1868, pour le centenaire de sa naissance, la municipalitĂ© fit instaurer, en lâhonneur de son glorieux fils, une fĂȘte annuelle pour cĂ©lĂ©brer son souvenir. Si bien que la fĂȘte de Versailles, qui se dit, pour attirer les touristes, ville royale », fait commĂ©morer le gĂ©nocide des pauvres croquants partisans du roi. Pacificateur de la VendĂ©e ! ». La place manquait sans doute pour montrer Hoche allant, aux ordres de la Convention, pacifier dâautres villes et provinces terres ravagĂ©es, Ă©glises brĂ»lĂ©es, femmes et enfants massacrĂ©s. » Jacques HEERS Il nây aurait de moyen de ramener le calme dans ce pays quâen en faisant sortir tout ce qui nâĂ©tait pas coupable et acharnĂ©, en en exterminant le reste et en le repeuplant le plus tĂŽt possible de rĂ©publicains. ⊠La guerre ne sera complĂštement terminĂ©e que quand il nây aura plus un habitant dans la VendĂ©e.» HENTZ et FRANCASTEL, commissaires de la RĂ©publique Il ne faut point faire de prisonniers. DĂšs quâon trouve des hommes les armes Ă la main ou en attroupements de guerre, quoique sans arme, il faut les fusiller sans dĂ©placer. » LEQUINO Les patriotes manquent de pain, il et juste que ces scĂ©lĂ©rats pĂ©rissent et ne mangent pas le pain des patriotes. Les dĂ©tenus sont des scĂ©lĂ©rats qui ont voulu dĂ©truire la RĂ©publique il faut quâils pĂ©rissent. » ROBIN, bourreau Mon intention est de tout incendier. ⊠ce qui reste de rebelles ainsi cernĂ©s, je ne crois pas quâil puisse en rĂ©chapper, câest du moins le plus sĂ»r moyen de parvenir Ă leur parfait anĂ©antissement ⊠si mes intentions sont bien secondĂ©es, il nâexistera plus dans la VendĂ©e sous quinze jours ni maisons, ni armes, ni subsistances, ni habitants que ceux qui, cachĂ©s dans le fond de la forĂȘt, auront Ă©chappĂ© aux plus scrupuleuses perquisitions. » TURREAU Je ne vous donnerai pas le dĂ©tail des horreurs gratuites commises dans la VendĂ©e, mais je ne ferai que vous rappeler les faits gĂ©nĂ©raux. Douze colonnes sâavancent le fer et la flamme Ă la main dans un pays oĂč les rebelles ont mis bas les armes. On pille, on brĂ»le, on viole, on assassine ; des vieillards sont trouvĂ©s reposant dans leur maison, on met le feu Ă leurs lits, on les brĂ»le tout vivants. Des cultivateurs paisibles sont rencontrĂ©s, on les saisit, et avant de les massacrer, on creuse leur fosse sous leurs yeux ; leurs femmes, leurs filles sont en proie aux outrages du soldat ; cinquante, cent monstres assouvissent tour Ă tour leur infĂąme brutalitĂ© ; ils les massacrent aprĂšs les avoir violĂ©es ; des enfants Ă la mamelle sont Ă©gorgĂ©s ; ils se les jettent lâun Ă lâautre sur les pointes de leurs baĂŻonnettes. Des habitants hospitaliers les accueillent, leur prĂ©sentent des rafraĂźchissements, ils les acceptent et fusillent ensuite ces malheureux lâun aprĂšs lâ fusillent les municipalitĂ©s entiĂšres, des municipalitĂ©s patriotes, des municipalitĂ©s revĂȘtues de lâĂ©charpe de la libertĂ©. Enfin, ils brĂ»lent les chaumiĂšres des cultivateurs, il brĂ»lent, mĂȘme dans un temps oĂč nos armĂ©es et Paris manquent de subsistances, ils brĂ»lent les graines et les bestiaux. De quel nom qualifier ces armĂ©es de brigandages et de crimes ? Et quels sont les ennemis barbares de la patrie qui ont pu en concevoir le plan ? ⊠Non, ce nâest plus par la mĂ©chancetĂ© humaine quâil faut expliquer ce brigandage et cet assassinat perpĂ©tuel ; câest plutĂŽt une frĂ©nĂ©sie nouvelle qui passe les forces ordinaires du crime. Ah ! Il est des gens nĂ©s comme le tigre avec la soif du sang qui sây dĂ©saltĂšrent parce que câest le besoin de leur instinct et qui sourient Ă lâaspect dâun homme comme Ă la vue dâune proie. » Avocat TRONSON-DUCOUDRAY Il y a un an que je crie contre toutes les horreurs desquelles jâai Ă©tĂ© le malheureux tĂ©moin. ⊠Je te dĂ©clare quâil nexiste pas un officier gĂ©nĂ©ral dans la VendĂ©e qui puisse donner des Ă©claircissements plus sincĂšres et plus dĂ©taillĂ©s que moi. ⊠Je dirai et je prouverai quand on le voudra que jâai vu massacrer des vieillards dans leurs lits, Ă©gorger des enfants sur le sein de leurs mĂšres, guillotiner des femmes enceintes et une le lendemain de ses couches Ă Laval, que jâai vu brĂ»ler des magasins immenses de grains et de denrĂ©es de toute espĂšce, par quel ordre, Ă quelle heure et dans quel lieu. ⊠Je prouverai quâon ne sâest pas contentĂ© de noyer Ă Nantes, mais que ce genre de supplice avait lieu Ă trente lieues en remontant la Loire. Les atrocitĂ©s qui se sont commises sous mes yeux ont tellement affectĂ© mon cĆur que je ne regretterai jamais la dĂ©montrerai invinciblement que beaucoup de gens qui sont actuellement des philanthropes Ă©taient alors de grands scĂ©lĂ©rats. ⊠je parlerai en face aux cannibales et je te somme au nom du Salut Public de faire part de ma lettre Ă la Convention. » GĂ©nĂ©ral DANICAN CHAUX accuse le comitĂ© rĂ©volutionnaire, dont il a Ă©tĂ© un des membres, dâavoir fait noyer ou fusiller quatre cents Ă cinq cents enfants dont les plus ĂągĂ©s nâavaient peut-ĂȘtre pas quatorze ans. Jâavais engagĂ© plusieurs de mes amis Ă Ă©lever chez eux plusieurs de ces petits innocents et le lendemain, allant Ă lâEntrepĂŽt pur les prendre, ces malheureux nâexistaient plus. Ils avaient tous Ă©tĂ© noyĂ©s ⊠ayant reçu lâordre de la commission militaire dâaller constater la grossesse dâun grand nombre de femmes dĂ©tenues Ă lâEntrepĂŽt, je trouvai une grande quantitĂ© de cadavres Ă©pars ça et lĂ ; je vis des enfants palpitants noyĂ©s dans des baquets pleins d excrĂ©ments humains ⊠Je constate la grossesse de trente dâentre ces femmes ; plusieurs Ă©taient grosses de sept Ă huit mois. Quelques jours aprĂšs, je reviens voir ces femmes que leur Ă©tat devait sauver, ces malheureuses avaient Ă©tĂ© noyĂ©es⊠» Vous voyez ces femmes, ces mĂšres malheureuses prĂ©cipitĂ©es dans les flots avec leurs enfants. Lâenfance, lâaimable enfance, dont le bonheur est de ne trouver que des amis parmi les ĂȘtres sensibles, de nâinspirer que les plus doux intĂ©rĂȘts, dâattendrir par un seul de ses regards, devient lâobjet de la plus impitoyable rage. Un crime, que les fureurs de la guerre rendent Ă peine croyable, est commis de sang froid dans Nantes armĂ©e pour la patrie. Des enfants de dix, de cinq, de deux ans, des enfants Ă la mamelle sont massacrĂ©s ou noyĂ©s. Je vois ces infortunĂ©s tendant vers leurs bourreaux leurs bras innocents, leur souriant sur le sein qui les porte et dont un bras fĂ©roce les arrache. Je les vois se dĂ©battre aux cris de leurs mĂšres qui les appellent encore. Jâentends ces malheureuses sâĂ©crier, lâune Laissez-moi mon fils, barbares ! Je mourrai avec lui », et les monstres prĂ©cipitent et lâenfant et la mĂšre ; lâautre recommander le sien aux citoyens sensibles qui lâadoptent et leur dire Mon enfant et entre vos mains, je meurs contente. » Je vois le fleuve rapporter sur ses bords une femme tenant encore son enfant mort sur son sein, une fille les bras entrelacĂ©s autour de sa mĂšre. Quelles images ! âŠJe passe sur la place oĂč est lâinstrument du supplice. Je vois un jeune enfant de treize ans sur lâĂ©chafaud ; il dit Ă lâexĂ©cuteur ce mot dĂ©chirant Me feras-tu bien du mal ? » il est liĂ© sur la planche fatale dont les proportions indiquent Ă ces barbares que la justice nây attache par des enfants. Son corps atteint Ă peine la ligne qui rĂ©pond Ă la direction du couteau. Le coup tombe⊠Je vous Ă©pargne le reste de cet affreux ce sont moins des supplices injustes que des scĂšnes de carnage ; ce sont des hommes, des femmes ou des enfants que lâon fusille ou que lâon dĂ©chire Ă coups de sabres et de baĂŻonnettes. Ce sont des prisonniers qui se sont rendus volontairement, qui sont venus offrir de ramener neuf ou dix mille des leurs si on voulait leur pardonner et qui offraient en mĂȘme temps de rester pour otages ; ce sont des rebelles, ou plutĂŽt des malheureux que lâon qualifie ainsi sans avoir constatĂ© lâidentitĂ© des individus, et ce sont encore des enfants !car ces infortunĂ©s sont partout vouĂ©s Ă la mort. » TRONSON-DUCOUDRAY La postĂ©ritĂ© ne croira jamais que des hommes qui avaient sans cesse Ă la bouche les saints noms de libertĂ©, dâĂ©galitĂ©, de fraternitĂ© aient pu se livrer contre leurs frĂšres Ă des atrocitĂ©s semblables. » Citoyen BENABEN dans un rapport au commissaire du Maine-et-Loire, publiĂ© en 1795 Il est impossible que la RĂ©publique puisse se maintenir si la VendĂ©e nâest pas entiĂšrement rĂ©duite sous le joug. Nous ne pourrons nous-mĂȘmes croire Ă notre sĂ»retĂ© que lorsque les brigands qui infestent lâouest depuis deux annĂ©es auront Ă©tĂ© mis dans lâimpuissance de nous nuire et contrarier nos projets, c'est-Ă -dire lorsquâils auront Ă©tĂ© exterminĂ©s. Câest dĂ©jĂ un sacrifice trop honteux dâavoir Ă©tĂ© rĂ©duits Ă traiter de la paix avec des rebelles ou plutĂŽt avec des scĂ©lĂ©rats dont la trĂšs grande majoritĂ© a mĂ©ritĂ© lâĂ©chafaud. Sois convaincu quâils nous dĂ©truiront si nous ne les dĂ©truisons pas. ⊠Il faut, sâil est nĂ©cessaire, employer le fer et le feu, mais en rendant les VendĂ©ens coupables aux yeux de la nation du mal que nous leur ferons. » Courrier signĂ© de sept conventionnels Tallien, Treillard, SieyĂšs, Doulcet, Rabaut, Marec, CambacĂ©rĂšs expĂ©diĂ© au reprĂ©sentant du peuple Guezno La VendĂ©e est extĂ©nuĂ©e, sa population Ă©tonnamment rĂ©duite, le fer et la flamme ayant laissĂ© de terribles signes de dĂ©vastation. » BERNADOTTE Dâabord les noyades se faisaient de nuit mais le comitĂ© rĂ©volutionnaire ne tarda pas Ă se familiariser avec le crime ; il nâen devint que plus cruel et dĂšs ce moment, les noyades se firent en plein jour. Dâabord les individus Ă©taient noyĂ©s avec leurs vĂȘtements ; mais ensuite, le comitĂ© conduit par la cupiditĂ© autant que par le raffinement de la cruautĂ©, dĂ©pouillait de leurs vĂȘtements ceux quâil voulait immoler aux diffĂ©rentes passions qui lâanimaient. Il faut aussi vous parler du mariage rĂ©publicain » qui consistait Ă attacher, tout nus, sous les aisselles, un jeune homme Ă une jeune femme, et Ă les prĂ©cipiter ainsi dans les eaux. » Guillaumme-François LAHENNEC, tĂ©moin au procĂšs de Carrier. Carrier se vante devant lâinspecteur de lâarmĂ©e, Martin Naudelle dây avoir fait passer deux mille huit cents brigands » dans ce quâil appelle la dĂ©portation verticale dans la baignoire nationale », le grand verre des calotins » ou le baptĂȘme patriotique ». En fait ce sont 4 800 personnes recensĂ©es que la Loi, ce torrent rĂ©volutionnaire », engloutit au cour du seul automne 1793. » Reynald SECHER Extermine les brigands jusquâau dernier, voilĂ ton devoir. » Adresse du 8 fĂ©vrier 1794 du ComitĂ© de Salut Public Ă Turreau par lâintermĂ©diaire de Carnot. Tuez les brigands au lieu de brĂ»ler les fermes, faite punir les fuyards et les lĂąches et Ă©crasez totalement cette horrible VendĂ©e⊠Combine avec le gĂ©nĂ©ral Turreau les moyens les plus assurĂ©s de tout exterminer dans cette race de brigands⊠» Adresse du ComitĂ© de Salut Public au reprĂ©sentant DembarrĂšre. Camarades, nous entrons dans le pays insurgĂ©. Je vous donne lâordre de livrer aux flammes tout ce qui sera susceptible dâĂȘtre brĂ»lĂ© et de passer au fil de la baĂŻonnette tout ce que vous rencontrerez dâhabitants sur votre passage. Je sais quâil peut y avoir quelques patriotes dans ce pays ; câest Ă©gal, nous devons tout sacrifier. » Harangue du gĂ©nĂ©ral Grignon Ă ses soldats le 17 janvier 1794 Jâavais ordonnĂ© de passer au fil de la baĂŻonnette tous les scĂ©lĂ©rats quâon aurait pu rencontrer et de brĂ»ler les mĂ©tairies et les hameaux qui avoisinent Jallais ; mes ordres ont Ă©tĂ© ponctuellement exĂ©cutĂ©s et, dans ce moment, quarante mĂ©tairies Ă©clairent la campagne ⊠» JALLAIS le 27 janvier 1794 Je te prĂ©viens que tout le village dâYzernay a Ă©tĂ© incendiĂ© hier sans y avoir trouvĂ© ni homme ni femme. Il restait quatre moulins Ă vent que jâenvoie incendier ce matin, nâen voulant pas laisser un seul. Jâai fait brĂ»ler ce matin toutes les maisons qui restaient Ă MaulĂ©vrier, sans en excepter une seule, si ce nâest lâĂ©glise oĂč il y a encore beaucoup dâeffets quâil serait Ă propos dâenvoyer chercher de suite.. Le bourg de Toutlemonde a Ă©tĂ© incendiĂ© avant-hier ⊠» CAFFIN Je te prĂ©viens que jâirai demain matin, avec ma colonne, brĂ»ler ce bourg la GaubretiĂšre, tuer tout ce que jây rencontrerai sans considĂ©ration, comme le repaire de tous les brigands. Tout y passera pas le fer et par le feu⊠» CAFFIN le 3 fĂ©vrier 1794 Carrier conjure Cordellier, au nom de la loi, de mettre le feu partout et de nâĂ©pargner personne, ni femmes ni enfants, de tout fusiller. » Si la population qui reste nâĂ©tait que de trente Ă quarante mille Ăąmes, le plus court sans doute serait de tout Ă©gorger, ainsi que je le croyais dâabord ; mais cette population est immense elle sâĂ©lĂšve encore Ă 400 000 hommes ; et le pays vallonnĂ© et boisĂ©, rend cette extermination extrĂȘmement difficile. » LEQUINIO Ces terres sont bonnes et peuvent facilement se passer de fumier, vu la quantitĂ© de brigands qui les engraisse. » FELIX, PrĂ©sident de la commission militaire dâAngers Lâesprit de lâarmĂ©e est corrompu par le pillage, et le cĆur du soldat abruti par le meurtre et le carnage. » BO et INGRAND ⊠le spectacle du carnage et de la dĂ©vastation, partout le silence de lâhorreur. ⊠Quand cela sera fini, il nây aura plus de monde dans la VendĂ©e, mais soyez sĂ»rs quâil y a vingt mille hommes Ă Ă©gorger dans ce malheureux pays ; alors, nous trouverons ici force bestiaux et blĂ©s. » » ReprĂ©sentants Hentz, Garrau, Prieur et Francastel au ComitĂ© de salut public Mes Colonnes ont dĂ©jĂ fait des merveilles ; pas un rebelle nâa Ă©chappĂ© Ă leurs recherches⊠Si mes intentions sont bien secondĂ©es, il nâexistera plus dans la VendĂ©e, sous quinze jours, ni maisons, ni subsistances, ni armes, ni habitants. Il faut que tout ce qui existe de bois, de haute futaie dans la VendĂ©e soit abattu⊠» TURREAU le 24 Janvier 1794 Jâai vu brĂ»ler vif des femmes et des hommes, Ă©crit le chirurgien Thomas. Jâai vu cent cinquante soldats maltraiter et violer des femmes, des filles de quatorze et quinze ans, les massacrer ensuite et jeter de baĂŻonnette en baĂŻonnette de tendres enfants restĂ©s Ă cĂŽtĂ© de leurs mĂšre Ă©tendues sur le carreau⊠» Jâai fait brĂ»ler un chĂąteau appartenant Ă Lescure, et deux ou trois autres. La journĂ©e dâhier a coĂ»tĂ© la vie Ă peut-ĂȘtre trois cents rebelles ; de ce nombre se trouve un chevalier de Saint-Louis qui fuyait Ă cheval avec son domestique ; je te fais passer la dĂ©coration. » GĂ©nĂ©ral GRIGNON LâAnjou est rĂ©servĂ© Ă la cinquiĂšme colonne commandĂ©e par Cordelier. Son lieutenant, Crouzat, ravage sur sa route Gonnord, JouĂ©, ChemillĂ©, Chanzeaux, Melay. Sa mĂ©thode est connue il fouille dâabord les maisons, en arrache les femmes, les enfants, les vieillards, les malades quâil force Ă assister au pillage de leurs demeures et de lâĂ©glise, puis met le feu partout. Ensuite il aligne les habitants et les fusille. » Reynald SECHER Plus de cinq cents, tant hommes que femmes, ont Ă©tĂ© tuĂ©s⊠Jâai fait fureter les genĂȘts, les fossĂ©s, les haies et les bois, et câest lĂ quâon les trouvait blottis. Tout a Ă©tĂ© passĂ© par le fer car jâavais dĂ©fendu que les trouvant ainsi on consommĂąt des munitions. A mon arrivĂ©e Ă La Verrie, jâai fait passer au fil de la baĂŻonnette tout ce que jâai trouvĂ©. » HUCHE Cinquante-huit individus, dĂ©signĂ©s sous la dĂ©nomination de prĂȘtres rĂ©fractaires, sont arrivĂ©s dâAngers Ă Nantes aussitĂŽt ils ont Ă©tĂ© enfermĂ©s dans un bateau sur la Loire ; la nuit derniĂšre, ils ont Ă©tĂ© tous engloutis dans cette riviĂšre. » CARRIER Jâai Ă©tĂ© instruit, comme toute la ville, des noyades on en faisait des fĂȘtes ; on donnait mĂȘme des repas Ă ce sujet. » BOIVIN Carrier a peur, peur quâune reste dâhumanitĂ© lui fasse trahir sa mission exterminatrice, et il fait tout pour sâen protĂ©ger. DâoĂč Ă©galement lâhumour noir, les dĂ©portations verticales » par exemple, qui permettent Ă cet homme qui sâobstine Ă nâassister Ă aucune exĂ©cution de se masquer son propre rĂŽle de bourreau. DâoĂč enfin, ses nuits sans sommeil comme dâautres cherchent lâoubli dans lâalcool, lui, le vertueux, sâabrutit de travail. Eperdu de douleur Ă devoir ainsi, par amour pour lâhumanitĂ© idĂ©ale, tuer les hommes en dĂ©tail et sacrifier sa propre sensibilitĂ©, il frappe encore et toujours, comme mĂ» par une mystĂ©rieuse haine de chacun et peut-ĂȘtre dâabord de lui-mĂȘme. » Alain GERARD Seule la conformitĂ© politique offre un minimum de garanties contre lâangoisse. On ment aux autres, en attendant que ce mensonge gĂ©nĂ©ralisĂ© devienne pour tous, la vĂ©ritĂ©. » Alain GERARD Pour Ă©viter dâavoir honte dâeux- mĂȘmes, ils devront sâinterdire jusquâau souvenir de ces horreurs, et pour cela rompre avec leur vĂ©cu, devenir des hommes nouveaux, affranchis de leur passĂ©, condamnĂ©s Ă habiter une utopie. »Alain GERARD Avec Carrier, nous basculons dans un autre monde, oĂč la morale, la responsabilitĂ©, la rĂ©alitĂ© mĂȘme nâont plus leur place. Une citĂ© utopique prend corps, peuplĂ©es dâhommes tous identiques, libĂ©rĂ©s de leur passĂ©, de leur conscience et finalement de leur libertĂ©. A Nantes se rĂ©alise ce qui paraĂźt constituer la nature ultime de la RĂ©volution, qui est la rĂ©gĂ©nĂ©ration de lâhumanitĂ©. Avec Ă la marge, parce que lâavenir radieux, ne peut attendre, des cadavres. » Alain GERARD LâabbĂ© Robin fait allusion, en parlant dâune premiĂšre armĂ©e, aux 5 000 prisonniers bleus graciĂ©s par Bonchamps, le 18 octobre, Ă Saint-Florent-le-Vieil. AprĂšs avoir proclamĂ© leur reconnaissance Ă lâĂ©gard de leur libĂ©rateur », ils dĂ©vastent La Chapelle et sâen prennent Ă la population de femmes, dâenfants et de vieillards restĂ©e sur place. » Reynald SECHER Câest bien dommage que nous ne puissions plus Ă©largir, confiait Chaux. Toute la ville de Nantes eĂ»t passĂ© entre nos mains. Nous eussions fait incarcĂ©rer tous les habitants les uns aprĂšs les autres, ceux-ci pour une dĂ©cade, ceux-lĂ pour deux, etc. AprĂšs un quartier plus ou moins long, les Nantais eussent mieux valu. » La citĂ© utopique, il en avait le pressentiment, ne se rĂ©alise que par ce que lâon nâappelait pas encore le camp de concentration. » Alain GERARD LĂ câĂ©taient de pauvres jeunes filles toutes nues suspendues Ă des branches dâarbres, les mains attachĂ©es derriĂšre le dos, aprĂšs avoir Ă©tĂ© violĂ©es. Heureux encore quand, en lâabsence des Bleus, quelques passants charitables venaient les dĂ©livrer de ce honteux supplice. Ici, par un raffinement de barbarie, peut-ĂȘtre sans exemple, des femmes enceintes Ă©taient Ă©tendues et Ă©crasĂ©es sous des pressoirs. Une pauvre femme, qui se trouvait dans ce cas, fut ouverte vivante au Bois-Chapelet, prĂšs Le Maillon. Le nommĂ© Jean LainĂ©, de La Croix de BeauchĂȘne, fut brĂ»lĂ© vif dans son lit oĂč il Ă©tait retenu pour cause de maladie. La femme Sanson, du PĂ©-Bardou, eut le mĂȘme sort, aprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă moitiĂ© massacrĂ©e. Des membres sanglants et des enfants Ă la mamelle Ă©taient portĂ©s en triomphe au bout des baĂŻonnettes. Une jeune fille de La Chapelle fut prise par des bourreaux, qui aprĂšs lâavoir violĂ©e la suspendirent Ă un chĂȘne, les pieds en haut. Chaque jambe Ă©tait attachĂ©e sĂ©parĂ©ment Ă une branche de lâarbre et Ă©cartĂ©e le plus loin possible lâune de lâautre. Câest dans cette position quâils lui fendirent le corps avec leur sabre jusquâĂ la tĂȘte la sĂ©parĂšrent en deux. » Descriptions de PeignĂ© et de lâabbĂ© Robin Personne nâest cependant parfait, pas mĂȘme les plus dĂ©vouĂ©s parmi les artisans de lâextermination. Nous le verrons bientĂŽt, Fouquet et Lamberty seront accusĂ©s dâavoir, pour des fins trĂšs personnelles, sous trait des femmes de lâEntrepĂŽt, et seront liquidĂ©s pour ce manquement Ă la vertu qui doit caractĂ©riser le vĂ©ritable rĂ©volutionnaire. » Alain GERARD Il y a un an, Ă©crit le gĂ©nĂ©ral de brigade Danican Ă Bernier le 20 octobre 1794, que je crie contre toutes les horreurs desquelles jâai Ă©tĂ© le malheureux tĂ©moin. Plusieurs citoyens mâont pris pour un extravagant ⊠mais je dirai et je prouverai quand on le voudra que jâai vu massacrer des vieillards dans leur lit, Ă©gorger des enfants sur le sein de leurs mĂšres, guillotiner des femmes enceintes et mĂȘme le lendemain de leurs couches, que jâai vu brĂ»ler des magasins immenses de grains et de denrĂ©es de toutes espĂšces âŠ. AccablĂ© de besogne et dâinquiĂ©tude, il mâest impossible de faire un rĂ©cit prĂ©cis, mais si jâĂ©tais appelĂ© en tĂ©moignage, il ne me faudrait que huit jours pour faire un mĂ©moire dans lequel jâexposerais Ă tous les vrais amis de la RĂ©publique les intrigues de cette guerre sur laquelle on a constamment menti. Les crimes de Bouchotte et de tous les saltimbanques quâil plaçait Ă la tĂȘte de nos armĂ©es pour les faire battre. Je prouverais quâon ne sâest pas contentĂ© de noyer Ă Nantes mais que ce genre de supplice avait lieu Ă trente lieues en remontant la Loire. Les atrocitĂ©s qui se sont commises sou mes yeux ont tellement affectĂ© mon cĆur que je ne regretterai jamais la vie âŠ. Je parlerai en face aux cannibales. » Carrier a fait pĂ©rir par les eaux des milliers dâhommes sans jugement prĂ©alable. » Etudiant BAUDRY On nâa point assez incendiĂ© dans la VendĂ©e ; ⊠il faut que pendant un an nul homme, nul animal, ne trouve de subsistance sur ce sol. » FAYAU Cette riche contrĂ©e qui nourrissait plusieurs dĂ©partements et fournissait des bĆufs en quantitĂ© pour Paris, des chevaux pour lâarmĂ©e, nâest quâon monceau de ruines. » TURREAU fin 1794NâempĂȘche que, sur place, il faut des exĂ©cutants pour la sinistre besogne. Certains reprĂ©sentants se dĂ©robent. Mais dâautres, qui pourtant, a priori, ne sont ni des dĂ©biles ni des crapules, croient devoir, pour fonder Ă jamais le bonheur du Peuple idĂ©al, massacrer prĂ©sentement le peuple rĂ©el. » » Alain GERARD 1999 Par principe dâhumanitĂ© ... La Terreur et la VendĂ©e PassĂ© lâindicible, pourquoi chercherait-on encore parmi les rescapĂ©s, Ă raviver la douleur en traduisant par des mots ce que tout le monde ne connaĂźt que trop ? Et puis on ne reconstruit pas, on ne revit pas sur lâhorreur. BientĂŽt, les souffrances subies deviennent, sous lâeffet dâun catholicisme revivifiĂ©, le sacrifice rĂ©dempteur dâun peuple qui face Ă lâimpiĂ©tĂ© rĂ©volutionnaire, a confessĂ© sa foi. » Alain GERARD Câest un pays exceptionnel que la VendĂ©e il faut donc la laisser se rĂ©gir avec des lois exceptionnelles, car une guerre pareille, renouvelĂ©e dans quelques annĂ©es perdrait le gouvernement. » HOCHE Le Directoire, par la loi du 24 aoĂ»t 1797, proclame thĂ©oriquement lâamnistie et le retour dâune certaine libertĂ© religieuse. En fait, la VendĂ©e est laissĂ©e Ă lâarbitraire haineux des autoritĂ©s locales on la persĂ©cute avec une tĂ©nacitĂ© tracassiĂšre. » Reynald SECHER Parlons maintenant des VendĂ©ens, parlons de ces hommes vraiment extraordinaires dont lâexistence politique, les rapides et prodigieux progrĂšs et surtout la fĂ©rocitĂ© inouĂŻe, feront Ă©poque dans les fastes de la RĂ©volution ; de ces VendĂ©ens Ă qui il ne manque que de lâhumanitĂ© et une autre cause Ă dĂ©fendre pour rĂ©unir tous les caractĂšres de lâhĂ©roĂŻsme. Une maniĂšre de combattre quâon ne connaissait pas encore et peut-ĂȘtre inimitable en tant quâelle ne peut sâapproprier quâĂ ce pays et tienne au gĂ©nie de ses habitants ; un attachement inviolable Ă leur parti ; une confiance sans bornes dans leurs chefs ; une telle fidĂ©litĂ© dans leurs promesses quâelle peut supplĂ©er Ă la discipline ; un courage indomptable et Ă lâĂ©preuve de toutes sortes de dangers, de fatigues et de privations voilĂ ce qui fait des VendĂ©ens des ennemis redoutables et qui doit les placer dans lâhistoire au premier rang des peuples guerriers. » GĂ©nĂ©ral TURREAU âŠle mal, les moyens violents, iniques, inhumains, mĂȘme en supposant quâils aient eu durant le moment de crise une apparence dâutilitĂ© immĂ©diate, laissent ensuite, ne fĂ»t-ce que sur des imaginations frappĂ©es ⊠de longues traces funestes, contagieuses, soit en des imitations thĂ©oriques, exagĂ©rĂ©es, soit en des craintes Ă©troites et pusillanimes ». SAINTE BEUVE Ce dieu morbide est une arme pour les tyrans qui exigent en son nom que les hommes se soumettent, tuent et se tuent pour un idĂ©al de puretĂ© quâaucune trace de bonheur ne viendra souiller. Ce dieu tyrannique organise lâagrĂ©able solidaritĂ© de ceux qui lui obĂ©issent Ă mort et conduit comme un seul homme son groupe dâadorateurs qui doivent ignorer, mĂ©priser et mĂȘme Ă©liminer les hommes des autres groupes qui ne croient pas au mĂȘme dieu. » Boris CYRULNIK 2006 in De chair et dâĂąme On ne peut pas nier quâun peuple en lui-mĂȘme est un puits dâignorance et de confusion. Câest pourquoi les gouvernements purement populaires ont Ă©tĂ© partout Ă©phĂ©mĂšres, et, outre des tumultes et des dĂ©sordres infinis, dont ils Ă©taient pleins durant leur existence, ils ont provoquĂ© la tyrannie ou la ruine dĂ©finitive de leur ville. » Francesco GUICCIARDINI 1483-1540 Dans lâhistoire de lâEurope moderne, câest la RĂ©volution française qui la premiĂšre fit passer dans la rĂ©alitĂ© lâidĂ©e dâexterminer une classe ou un groupe. » ERNST NOLTE, historien Câest de lâuniversalitĂ© de la dialectique scientifique du siĂšcle des LumiĂšres », comme de lâuniversalitĂ© des droits proclamĂ©s, que sâest rĂ©vĂ©lĂ©e depuis deux siĂšcles, lâuniversalitĂ© de la barbarie des idĂ©ologies nationalistes ce au nom de la science, de la vertu, de la rĂ©gĂ©nĂ©ration de lâhomme, de la puretĂ© du sang ! et des sentiments, de la puretĂ© des principes et des droits humains, de la tolĂ©rance, de la bienveillance, de la justice, de la sensibilitĂ©, de lâĂ©galitĂ©, de la libertĂ©, de la purification et du bonheur de lâhumanitĂ©, rhĂ©torique universelle et non moins exterminatrice dans sa logique terroriste Ă prĂ©tendre imposer lâĂ©galitĂ© et lâuniversalitĂ© aux hommes, crĂ©atures organiquement et culturellement plurielles et diverses, on supprime dâabord les on supprime les hommes. » Jean-Marc YRONDE La derniĂšre pierre que lâon arracha Ă la Bastille servit de premiĂšre pierre aux chambres Ă gaz dâAuschwitz. » IsraĂ«l ELDAD Historien juif
Maisrecycler une vitre auto nâest pas aussi simple que la bouteille en verre. Le mariage du verre et du plastique. Le pare-brise est fabriquĂ© dans le but de vous protĂ©ger en cas de dĂ©bris ou dâaccident. Il parait Ă©vident quâil faut Ă©viter quâil se brise en mille morceaux lors dâun impact. Câest pourquoi le pare-brise est composĂ© de deux plaques de verre entre
Pourquoi un coup violent ne brise-t-il pas votre pare-brise alors quâun lĂ©ger choc peut le briser en mille morceaux ? Le stress, lâhumiditĂ© et les fissures créées par les contraintes de fatigue en sont lâexplication. Bien quâĂ premiĂšre vue lâĂ©tat de votre pare-brise puisse sembler parfait, la rĂ©alitĂ© peut ĂȘtre bien diffĂ©rente et sa rĂ©sistance rĂ©elle Ă tout impact, aussi petit soit-il, peut ĂȘtre complĂštement brisĂ©e et mettre en danger votre sĂ©curitĂ© et celle des personnes voyageant avec vous Ă bord de votre rĂ©sistance rĂ©elle du verre est bien infĂ©rieure Ă sa rĂ©sistance thĂ©orique. Câest ce qui explique les anomalies que lâon perçoit souvent sur les diffĂ©rents mĂ©canismes qui provoquent la rupture dâun pare-brise. La premiĂšre thĂ©orie qui a Ă©tĂ© publiĂ©e pour tenter dâexpliquer pourquoi le verre se fracture Ă©tait dĂ©jĂ claire la contrainte nĂ©cessaire pour quâun impact devienne plus important est inversement proportionnelle Ă la taille de lâimpact. En dâautres termes, plus le dommage est important, moins la force sera nĂ©cessaire pour augmenter sa taille. En bref, plus la taille de lâimpact est importante, plus la rĂ©sistance globale du pare-brise est signifie que toute microfissure, celles que lâon peut Ă peine voir Ă lâĆil nu, parfois mĂȘme pas en contrĂŽlant le pare-brise, peut avoir complĂštement brisĂ© sa rĂ©sistance aux autre facteur qui affecte Ă©galement la dĂ©tĂ©rioration de la rĂ©sistance du verre est lâhumiditĂ© ambiante existante. Une Ă©tude de 1967 a approfondi cette thĂ©orie et a dĂ©montrĂ© que mĂȘme avec des contraintes extrĂȘmement faibles, en prĂ©sence dâhumiditĂ©, un impact sur le verre croĂźt continuellement, sans sâarrĂȘter, mĂȘme si ce nâest que molĂ©cule par molĂ©cule. Des Ă©tudes plus rĂ©centes de Belron Technical sur ce sujet ont montrĂ© que la tempĂ©rature et ses variations sont Ă©galement des facteurs de dĂ©veloppement des dommages cachĂ©s sur un pare-brise est fragile dĂšs sa conceptionLes pare-brise sont soumis Ă des contraintes constantes dĂšs le moment oĂč ils sont fabriquĂ©s. La dĂ©coupe du verre, son cintrage et sa courbure, et mĂȘme la couche stratifiĂ©e interne qui lâempĂȘche de se fissurer et de se briser en mille morceaux, font quâune contrainte rĂ©siduelle gelĂ©e persiste dans le verre dĂšs le moment oĂč il est produit. La taille, la forme, la courbure, et mĂȘme lâorientation, lâinclinaison et la rĂ©partition de ses masses gĂ©nĂšrent Ă©galement des contraintes internes importantes. Et ce difficile Ă©quilibre atteint au moment de sa production peut ĂȘtre dĂ©finitivement perdu lorsque le pare-brise reçoit un impact, aussi minime joints de pare-brise, facteurs de stress pour le verreUne autre source de stress pour les pare-brise provient de leur propre installation dans le cadre quâils doivent occuper dans la voiture. Les joints qui les fixent au vĂ©hicule peuvent Ă©galement provoquer des contraintes supplĂ©mentaires. Cela est dĂ» Ă la fois aux tolĂ©rances dimensionnelles et aux types de joints utilisĂ©s pour les fixer. Chaque pare-brise peut prĂ©senter un profil de contrainte diffĂ©rent, prĂ©cisĂ©ment parce que les propriĂ©tĂ©s du verre peuvent varier dâun lot Ă lâ Ă la masse structurelle du vĂ©hicule en tant que composant supplĂ©mentaire pour assurer la rigiditĂ© de la carrosserie et empĂȘcher lâeffondrement du toit de la voiture en cas de retournement, la composition du pare-brise est Ă©galement affectĂ©e par des facteurs tels que la torsion subie par la carrosserie en raison des importantes forces G gĂ©nĂ©rĂ©es Ă diffĂ©rents moments de lâaccĂ©lĂ©ration, de la dĂ©cĂ©lĂ©ration ou lorsque le vĂ©hicule prend un virage. Saviez-vous que le passage dâun dos-dâĂąne Ă 30 km/h gĂ©nĂšre une force Ă©quivalente Ă 5 G dâaccĂ©lĂ©ration sur le pare-brise ?Et nâoublions pas que, comme tous les mĂ©taux, la carrosserie de la voiture se dilate et se contracte ne serait-ce que de moins dâun millimĂštre sous lâeffet des variations de tempĂ©rature. Ceux-ci peuvent provoquer des altĂ©rations de la carrosserie, qui se dilate ou se contracte en consĂ©quence, augmentant ainsi la tension et les contraintes sur le pare-brise. Câest pourquoi les changements brusques de tempĂ©rature, comme lorsque nous essayons de dĂ©givrer le pare-brise en hiver avec de lâeau chaude ou en Ă©tĂ© avec la climatisation lorsque nous dirigeons les jets dâair directement sur lui, peuvent faire craquer ou exploser le que disent les tests de pare-briseLors dâexpĂ©riences menĂ©es sur des pare-brise avec des petits impacts ou des microfissures Ă une tempĂ©rature extĂ©rieure de -10°, 81% du pare-brise sâest brisĂ© en moins de 5 minutes aprĂšs avoir allumĂ© le chauffage de la voiture. A -5°, 70% lâont fait et mĂȘme Ă 0°, 59% du verre sâest mĂȘme test a Ă©tĂ© effectuĂ© avec des pare-brise dĂ©jĂ rĂ©parĂ©s avec le systĂšme utilisĂ© par des professionnels pour rĂ©parer ces petits impacts au lieu de remplacer le pare-brise entier. Aucun des pare-brise rĂ©parĂ©s ne sâest brisĂ©. Le test a Ă©galement Ă©tĂ© effectuĂ© dans la situation inverse. Les pare-brise ont Ă©tĂ© chauffĂ©s Ă lâextĂ©rieur Ă 80°C tandis que lâintĂ©rieur est restĂ© Ă 30°C. Bien que les pare brise roussillon ne se soient pas effondrĂ©s, lâimpact sâest amplifiĂ© de maniĂšre visible, ce qui entraĂźnera la rupture des pare-brise si le scĂ©nario se les recherches effectuĂ©es par les techniciens sur le terrain arrivent toujours Ă la mĂȘme conclusion un verre avec un impact finit toujours par se briser. Il mettra plus ou moins de temps Ă le faire, mais il se brisera toujours. En revanche, un verre rĂ©parĂ© retrouve toujours sa rĂ©sistance si vous voulez Ă©viter des frayeurs imprĂ©vues, si vous dĂ©tectez de petits impacts sur le pare-brise de votre voiture, nâhĂ©sitez pas Ă le faire rĂ©parer. La plupart des polices dâassurance couvrent ces rĂ©parations et elles sont effectuĂ©es en une heure seulement. Il sera donc difficile de trouver une excuse pour ne pas les faire et Ă©viter un Ă©ventuel accident.
Enraison du risque de blessures, un verre brisĂ© est perçu comme gĂȘnant et est gĂ©nĂ©ralement retirĂ© le plus rapidement possible. Dâun autre cĂŽtĂ©, les morceaux de verres cassĂ©s portent chance, une consolation lorsque quelque chose se brise. Ceux qui rĂȘvent de verre brisĂ© ont toujours peur de se couper. Certaines personnes font mĂȘme
Que signifie rĂȘver de verre? Le verre est une piĂšce dĂ©licate et claire qui se casse quand on le laisse tomber, mais il conserve son image dans les rĂȘves, ce qui indique sa beautĂ©, sa dĂ©licatesse et sa clartĂ©. Cela peut Ă©galement indiquer que vous ĂȘtes tendu ou vulnĂ©rableLe verre transparent et clair, suggĂšre aussi que vous n'avez pas de mensonges dans votre coeur. Faite attention Ă ce que le verre Ă©tait dans votre rĂȘve pour une bonne de verre, fait souvent Ă une barriĂšre invisible mais tangible que vous avez placĂ©e autour de vous pour vous protĂ©ger dans vos relations avec les de verre cassĂ©Le verre cassĂ© en rĂȘve, signifie que votre chance amoureuse et votre amitiĂ© empirent. Vous rĂȘvez decasser du verre parce que vous perdez les personnes et les objets auxquels vous dit que brisĂ© du verre en rĂȘve, signifie perdre les choses que vous aimez et chĂ©ries dans la vie certains livres, rĂȘver de briser du verre, annonce que quelque chose se passera juste avant le vous rĂȘvez de marcher sur du verre cassĂ©, demandez-vous si la direction de votre vie est affectĂ©e par une mauvaise de manger du verreLe rĂȘve de manger du verre montre que vous avez une forte haine et un fort ressentiment envers quelqu' pense que le fait de manger du verre pilĂ© laisse aussi Ă penser que vous ĂȘtes fortement blessĂ© par quelque chose dans la vie rĂȘve de manger verre en souffrant et en saignant est un signe de de verre Ă champagneLe rĂȘve d'un verre de champagne, prĂ©dit toujours le plus, si vous voyez un verre de champagne dans votre rĂȘve, ce rĂȘve peut signifier que votre bonne fortune est en hausse. Comme c'est un signe de sensibilitĂ© croissante, vous pouvez tomber amoureux de quelqu'un au premier de verre en cristalLe verre en cristal indique que vous avez le dĂ©sir de franchir une barriĂšre invisible, et les Ă©motions qui ont Ă©tĂ© supprimĂ©es deviennent de plus en plus fortes et doivent ĂȘtre rĂȘve vous rappelle aussi e garder une comprĂ©hension claire de vous-mĂȘme et de ne pas ĂȘtre complaisant ou le rĂȘve de verre en cristal, peut annoncer que vos revenus augmenteront, que vous serez promus ou que votre entreprise sera prospĂšre et que votre statut social de cracher du verreLe rĂȘve de cracher du verre est un signe de perte d'intĂ©rĂȘt pour l' rĂȘve est Ă©galement l'indice que votre cĆur est maintenant soumis Ă un grand stress, et que vous n'ĂȘtes pas satisfait des personnes proches de de vomir du verre, peut ĂȘtre un signe que votre relation avec votre conjoint, amant ou ami sera fissurĂ©e ou que quelque chose va de bocal en verreLe rĂȘve d'un bocal en verre vide symbolise une situation Ă©conomique instable. Il est possible que vous tombiez dans l'instabilitĂ© financiĂšre dans votre Ă©tat actuel ou dans un avenir un bocal en verre, peut ĂȘtre le signe que vous avez le dĂ©sir de vous associer avec quelqu' une homme, la vue d'un bocal en verre peut symboliser les organes sexuels rĂȘve d'avoir du verre dans le corpsFaire le rĂȘve de retirer du verre de son corps est le signe avant-coureur de dĂ©gĂąts et de votre Ă©tat mental du verre dans la tĂȘte en rĂȘve, peut vous informer que votre entourage a des votre doigt est blessĂ© par un morceau de verre, cela peut poser un problĂšme rĂȘve de retirer le verre qui perce vos pieds, signifie que vous ĂȘtes inquiet et incapable d' de retirer des maorceaux de verre qui perce votre bouche, est le signe que votre plan est de verre saleLe rĂȘve de verre sale, est l'image de votre isolement et de votre sentiment de rĂȘve dans lequel vous voyez du verre sale, peut ĂȘtre le signe de votre refus de dĂ©ranger une personne. peut-ĂȘtre avez-vous juste un secret que vous voulez le verre est sale, ce rĂȘve indique que vous ĂȘtes actuellement insatisfait de votre vie de famille et de vos relations avec votre un verre sale, peut laisse prĂ©sager la tromperie et le de verre blancDu verre blanc en rĂȘve est bien souvent un signe de bonne chance dans divers c'est une femme mariĂ©e rĂȘve de verre blanc un tel rĂȘve indique qu'il est possible qu'elle soit de nettoyer du verre blanc indique que les choses gĂȘnantes seront de verre noirQuand vous rĂȘvez de verre noir, cela reprĂ©sente Ă coup sĂ»r des problĂšmes qui verre noir symbolise des obstacles dans la vie et le quoi, du verre noir dans votre rĂȘve, indique que vous pourriez ĂȘtre blessĂ© en Ă©coutant les calomnies des dĂ©finitions du rĂȘve de verreRĂȘver de verre vide, en islam signifie que tu vivras une restriction ou alors une verre plein en rĂȘve, est un bon le rĂȘve d'ĂȘtre sĂ©parĂ©s de quelqu'un par un mur de verre, rĂ©vĂšle que vous avez un problĂšme pour communiquer avec de maison en verre, peut vouloir dire que vous avez les nerfs tu rĂȘve que tu brises un verre, cela signifie que tu connaĂźtras une trĂšs mauvaise expĂ©rienceRĂȘver de verre d'eau en islam, est un bon prĂ©sage pour ta votre verre est rempli d'une eau claire et rafraĂźchissante, c'est le bonheur qui vous fait verre transparent en rĂȘve, indique un cĆur pur et un verre opaque signifie qu'il est sujet Ă des que l'on t'offre un verre, signifie que tu auras un bon souvenir d'une rencontre. Mais lorsque vous achetez du verre en rĂȘve , cela vous met en garde contre la nĂ©gligence prĂ©cises du rĂȘve de verreUn verre qui se brise quand vous le laver, est un rĂȘve, signifie que vous souhaitez changer dâ rĂȘve de donner un verre, a deux significations, une bonne et une mauvaise, cela peut prĂ©dire la disparition d'une personne, mais aussi une relation le rĂȘve de pantoufles en verre brisĂ©es, votre amour sera sĂ©rieusement verre foncĂ©, indique que vous devriez mieux protĂ©ger votre vie privĂ©e. RĂȘver de verre d'eau qui dĂ©borde, signifie que ta rĂ©ussite est verre de vin en rĂȘve, est signe de le rĂȘve de verre de lunette, indique une entreprise de verre fĂȘlĂ©, t'annonce la du verre brisĂ© dans la bouche, vous prĂ©vient que devez ĂȘtre sur vos rĂȘve de vitraux, signifie que la chance au travail et l'amitiĂ© vont s'amĂ©liorer et vous aurez une vie d'avoir un verre prĂ©cieux, est le prĂ©sage que vous recevrez un liĂ©s au rĂȘve de verre en islamLe rĂȘve de verre selon l'islamRĂȘver de bouteille en verreAuteur de cet article Soliman Darius, chercheur et vulgarisateur des rĂȘves en islam au Liban, travail de façon indĂ©pendante pour le dĂ©veloppement de l'interprĂ©tation des rĂȘves en islam pour tous. Les thĂšmes Ă©sotĂ©riques sont sa spĂ©cialitĂ©. Il montre des aspects des rĂȘves en islam que vous ignorez souvent et qui, lorsqu'ils sont dĂ©couverts, rĂ©vĂšlent quelque chose de surprenant pour vous.
bhIczz. y0ye7iz5g0.pages.dev/491y0ye7iz5g0.pages.dev/183y0ye7iz5g0.pages.dev/448y0ye7iz5g0.pages.dev/937y0ye7iz5g0.pages.dev/487y0ye7iz5g0.pages.dev/243y0ye7iz5g0.pages.dev/581y0ye7iz5g0.pages.dev/518y0ye7iz5g0.pages.dev/248y0ye7iz5g0.pages.dev/287y0ye7iz5g0.pages.dev/413y0ye7iz5g0.pages.dev/377y0ye7iz5g0.pages.dev/619y0ye7iz5g0.pages.dev/59y0ye7iz5g0.pages.dev/240
verre qui se brise en mille morceaux