Sixunités du Commandement des opérations spéciales françaises sont engagées dans ces manoeuvres: 1er Régiment parachutiste d'infanterie de marine, 13è Régiment de dragons parachutistes

Depuis une trentaine d’années, ils sont de toutes les guerres, ou presque. Afghanistan, Libye, Centrafrique, Côte d’Ivoire, ex-Yougoslavie, Sahel les hélicoptères des forces françaises sont déployés en permanence en opérations extérieures, sur des théâtres très exigeants. Sur les quelque 300 hélicoptères de l’ALAT Aviation légère de l’armée de terre, une cinquantaine est en alerte permanente, et une vingtaine déployée au Sahel dans le cadre de l’opération Barkhane. Leurs missions ? Très larges renseignement, appui feu, extraction de soldats, frappes sur des groupes terroristes, manœuvres aéroterrestres. "L’hélicoptère permet d’entrer en premier sur un théâtre, avec un très faible préavis, et de frapper rapidement un ennemi en s’affranchissant des obstacles au sol", résume le général Bertrand Vallette d’Osia, patron de l’ALAT. Des hélicoptères de l’ALAT Tigre et Cougar se sont encore distingués les 6 et 7 février en mettant hors de combat, soutenus par un drone Reaper et des Mirage 2000, une trentaine de djihadistes dans la zone dite "des trois frontières", entre Mali, Burkina Faso et Niger. Quelques semaines plus tôt, dans la nuit du 20 au 21 décembre, un assaut héliporté, réalisé de nuit par plusieurs dizaines de commandos appuyés par des hélicoptères Tigre, mettait 33 terroristes hors de combat. "Couteau suisse des armées, la composante hélicoptères joue un rôle stratégique majeur, soulignait un rapport du sénateur Dominique de Legge publié mi-2018. Elle s'est en particulier avérée indispensable pour les forces spéciales, dans le cadre de l'opération Sabre, et plus généralement en bande sahélo-saharienne BSS, dans le cadre de l'opération Barkhane. En effet, l'utilisation des hélicoptères permet une grande mobilité et est indispensable pour l'exploitation, dans des délais très brefs, du renseignement." L'hélicoptère d'attaque Tigre de l'armée de terre photo Armée de terre Essentielles au dispositif français au Sahel, les missions des "ALATmen" sont aussi périlleuses. Les Tigre et autres NH90 Caïman volent à 250 km/h, le plus souvent à 40-50 mètres du sol, et à quelques dizaines de mètres les uns des autres. Déjà délicats de jour, ces vols tactiques le sont encore plus de nuit, des missions qui représentent 15 à 30% des sorties. Un accident n’est jamais exclu, comme l’a montré la collision du 25 novembre dernier entre un Tigre et un Cougar. En s’apprêtant à engager de nuit des groupes terroristes en pick-up et en moto, les deux hélicoptères français sont entrés en collision dans le Liptako malien, tuant les 13 occupants des deux appareils. "Un traumatisme pour la grande famille de l’ALAT, reconnaît le général Vallette d’Osia. Nous savons tous que nous faisons un métier dangereux. Mais il faut repartir de l’avant." Le Guépard en vue Repartir de l’avant, c’est notamment continuer la modernisation de la flotte, dont une partie commence à sérieusement fatiguer. Pour remplacer ses antiques Gazelle 33 ans de moyenne d’âge et ses préhistoriques Puma 44 ans en moyenne, l’armée de terre passe peu à peu à la nouvelle génération elle dispose désormais de 56 hélicoptères d’attaque Tigre, et de 44 hélicoptères de manœuvre Caïman. "La moitié de la flotte a déjà été renouvelée, on tient le bon bout, assure le général Bertrand Vallette d’Osia. Au-delà du remplacement des appareils, il faut aussi repenser leur emploi on ne fait pas la même chose aujourd'hui avec un Tigre qu’hier avec une Gazelle." L’étape suivante sera l’arrivée du Guépard, hélicoptère interarmées léger HIL, dont les premières livraisons sont attendues en 2026. L’ALAT attend 80 exemplaires de cette version militaire du H160 d’Airbus Helicopters. "Le Guépard permettra d’effectuer avec un même appareil des missions de feu, de reconnaissance, de transport", explique le patron de l’ALAT. Il permettra également de mettre progressivement au rebut les vieilles Gazelle, même si celles-ci ont encore de belles années devant elles. "C’est une machine qui a très bien vieilli, assure le général Vallette d’Osia, lui-même pilote de Gazelle. Nous n'en attendons pas moins avec impatience l'arrivée du Guépard." Le futur Guépard, hélicoptère interarmées léger, dont les premières livraisons sont prévues en 2026 photo Airbus Helicopters Faut-il compléter la panoplie avec des hélicoptères lourds, type Chinook ? Le Commandement des opérations spéciales COS et l’armée de l’air appellent régulièrement à l’acquisition ou à la location de telles machines, soulignant la dépendance française aux Chinook britanniques au Sahel. Mais le commandant de l’ALAT ne se montre guère enthousiaste. "D’abord, ce sont des machines qui coûtent cher, explique-t-il. Ensuite, nous sommes des spécialistes des hélicoptères moyens, des vols tactiques, donc rapides et manœuvrants. L’hélicoptère lourd ne répond pas à ce besoin. Il est utile pour les acheminements en opérations. Mais ça, ce n’est pas notre métier." Disponibilité trop faible Avant même de songer à d’éventuels hélicoptères lourds, l’armée de terre doit composer avec une flotte d’hélicoptères hétéroclite huit types d’appareils différents, et une disponibilité encore bien trop basse. Selon les derniers chiffres obtenus par la députée François Cornut-Gentille, les taux de disponibilité des engins de l’ALAT oscillaient entre 27 et 46% en 2018. En clair, entre la moitié et les deux tiers des engins de l’armée de terre sont indisponibles. Le Tigre, un appareil pourtant récent, plafonnait à 28-30% de disponibilité. Le Caïman, lui aussi de dernière génération, ne dépassait pas 30,4%. Seule la bonne vieille Gazelle surnageait, malgré son âge avancé, avec 46,2% de disponibilité. Les causes de ces mauvais chiffres sont multiples hétérogénéité de la flotte, organisation complexe de la maintenance, mauvaise interface entre armée et industriels, défaillance de certains prestataires privés et structures de maintenance des armées… L’ALAT en est réduite à bricoler. Elle arrive à maintenir un taux de disponibilité supérieur à 70%, voire 80% en OPEX, mais c’est souvent au détriment de la disponibilité des engins en métropole, et donc de l’entraînement des équipages. Pour briser le cercle vicieux, la ministre des Armées Florence Parly a lancé en décembre 2017 une grande réforme du maintien en condition opérationnelle MCO des hélicoptères. L’idée est de renforcer la coordination entre les armées et les industriels, et d'identifier pour chaque appareil un maître d’œuvre unique, responsable des coûts et des délais. "Evidemment, nous voudrions plus de disponibilité, mais le système, globalement, remonte en puissance", assure le général Vallette d’Osia. Si les chiffres de disponibilité de 2019 ne sont pas encore connus, les heures d’entraînement, un autre indicateur essentiel, sont reparties à la hausse. "De 154 heures d’entraînement par pilote et par an, nous sommes repassés à 171 heures en 2019, et visons 200 heures à la fin de la loi de programmation militaire en 2025 220 heures pour les pilotes des forces spéciales", assure le COMALAT. Référence mondiale Malgré les tensions sur le matériel et les équipages, le patron de l’ALAT assure que l’'aérocombat' à la française est devenu une référence mondiale. Il ne s’agit plus seulement d’appuyer les troupes au sol, mais de manœuvrer en synergie avec l’infanterie et la cavalerie, pour surprendre et désorienter l'ennemi. "Nos résultats en opérations sont reconnus dans le monde entier, indique le général Vallette d’Osia. Même les Américains sont très intéressés par ce que nous faisons." Les ALATmen ont déjà montré leur flexibilité. En 2011, les hélicoptères de l’ALAT avaient été déployés depuis le porte-hélicoptères Tonnerre en 41 raids donnant lieu à 316 sorties, les hélicoptères Gazelle et Tigre avaient tiré 425 missiles HOT, 1618 roquettes et obus, détruisant 600 cibles militaires, dont 400 véhicules. Une bonne partie des frappes avaient été effectuées par nuit sans lune, à l’aide de jumelles de vision nocturnes. Une Gazelle sur le pont du BPC Tonnerre, pendant l'opération Harmattan en Libye en 2011 photo Armée de terre L’ALAT, créée en 1954, est une véritable PME au sein de l’armée de terre. Elle intègre notamment trois régiments d’hélicoptères de combat 1er, 3e et 5e RHC, un régiment d’hélicoptères des forces spéciales 4e RHFS, dépendant du Commandement des opérations spéciales pour son emploi, une école dédiée Ecole de l’aviation légère de l’armée de terre, un régiment de soutien 9e régiment de soutien aéromobile, et un petit détachement d’avions dédiés à l’aide au commandement 8 TBM700. Avec 220 équipages opérationnels, militaires dont environ mécaniciens, elle réalise heures de vol par an.
TheArmy Special Forces Brigade (French language: Brigade des Forces Spéciales Terre, BFST) is the French Army's special forces unit. It is based in Pau, Pyrénées-Atlantiques. The BFST is the heir of the Groupement Spécial Autonome (GSA, independent special grouping) created in 1997 and then commanded the 1er RPIMa and a special operations flight belonging
Le est une team regroupant un Commando Marine et un régiment/escadron aérien, respectivement le Commando Hubert et le 4e Régiment d'Hélicoptères des Forces Spéciales, avec le 3/61 Poitou. Le Commando Hubert est une unité spécialisée dans l'action sous-marine et dans les actions de contre-terrorisme maritime. Elle est la seule force spéciale française constituée de nageurs de combat. Le KHB est appelé à combattre dans un large panel de situations et d'environnements diversifiés. Le 4e Régiment d'Hélicoptères des Forces Spéciales 4RHFS , issu de l'ALAT, accompagnés du 3/61 Poitou et de la Flottille de la Flottille 17F qui intègrent aussi pleinement l'équipe, secourant, appuyant et transportant les troupes du Commando lors des opérations sur lesquels ils sont groupes GRIFFON, Groupe Spécialisé NC et CTLO - Nageurs de Combat ;- CT/CTM Contre-Terrorisme / Maritime ;- CTLO Contre Terrorisme et Libération d'Otages ;- THP Tireur Haute Précision ;- SOTGH Saut Opérationnel Très Grande Hauteur ; TYPHON, l'aérien - Posé d'assaut , corde lisse ; - ROIM , ROEM Renseignement ; - CAS Close Air Support ; - EVASAN Evacuation Sanitaire ; - AFTE Appuis-Feu Tireur Embarqué ; - Logistique transport matériel/véhicule ;- Supériorité aérienne. Ce que vous découvrirez • Des missions scénarisées dans des opérations extérieures complexes et réfléchies ;• Une simulation et un role-play poussés pour une immersion complète ; • Un système de formation et d'évolution de carrière réalistes et recherchons actuellement des opérateurs commandos, un opérateur radio et des pilotes polyvalents. Nous rejoindre Discord Enréalité, le jeune sous-officier participe à l’exercice annuel « Gorgones », réunissant les unités de forces spéciales de l’armée de terre : le 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa), héritier des SAS de la France libre, spécialisé dans le contre-terrorisme et la libération d’otages ; le 13e RDP, expert du renseignement; et le 4e régiment d
Horaires des vols Départs et Arrivées Les vols partant et arrivant à l’aéroport de Pau-Pyrénées Uzein de toutes les compagnies qui le desservent, sont mis à la disposition des internautes sur notre Site. Coordonnés de l’aéroport Adresse SEA Air’py Aéroport Pau Pyrénées 64230 Uzein N° téléphone Fax Site web Présentation de l’aéroport L’aéroport international de Pau Pyrénées au code AITA PUF et au code OACI LFBP est un aéroport français situé dans la commune d’Uzein, à 7 km au nord-ouest de Pau dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région Nouvelle-Aquitaine. L’aéroport est ouvert au trafic international, aux vols de vue et aux vols aux instruments. Il possède une piste en ciment de 2 500 mètres de long et 45 mètres de large. Une Aérogare pour les passagers, d’une surface de 12 000 m2, d’une capacité annuelle maximale de 1 million de passagers. Ainsi qu’une Aérogare pour le fret, d’une superficie de 530 m2. Outre le terminal civil, un régiment d’hélicoptères de combat, est basé au sud de la piste, ainsi que le 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales. Environ 80 hélicoptères militaires de type Gazelle, Puma, Cougar et Tigre qui se trouvent sur cette zone. Le centre de maintenance des Tigres de l’armée de l’air est également s’y trouve aussi. La piste reçoit aussi un trafic militaire du fait de la présence de l’école des troupes aéroportées et de la zone de saut 307 qui est située immédiatement au sud de la piste. Pour accéder à l’aéroport plusieurs moyens sont mis à la disposition des voyageurs, parmi eux, il y a les services des taxis, des VTC véhicule avec chauffeur, il y a aussi le transport à la demande, qui est assuré par la navette transport Lacoste, une liaison entre l’aéroport de Pau et les autres villes de Hautes Pyrénées Tarbes, Lourdes, Stations. Il y aussi les navettes vers 17 stations de Sky des Pyrénées proposées en Hiver. 1300 places de parkings sont proposées aux clients sur cet aéroport.

Lorsd’une audition à l’Assemblée nationale réalisée dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances [PLF] 2021, le 6 octobre, la ministre des Armées, Florence Parly, a annoncé la commande de dix hélicoptères NH-90

Aviation légère de l'armée de Terre ALAT Missions En tous temps et en tous lieux, appuyer les unités spéciales des ministères des Armées et de l’Intérieur volet contre-terrorisme à l’étranger et sur le TN. Matériels AS 532 Cougar - assaut/appui x 10 unités SA342 Gazelle x 12 unités EC665 Tigre-appui x 8 unités Opérations extérieures OPEX Lieu de vie Commune Uzein est une commune de 1 232 habitants 2017 située dans les Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine, à dix kilomètres au nord de Pau. Commodités Le régiment dispose d’une salle de sport. La piste d’athlétisme et le gymnase se situent au 5e RHC sur la même plateforme aéronautique. Une piscine est accessible à l’ETAP 10’ ainsi qu’à divers endroits de la ville de Pau. Les bâtiments pour cadres célibataires BCC se situent en dehors du régiment. Les chambres EVAT sont localisées dans l’enceinte du 5e RHC. Vie locale Pau possède une forte identité sportive rugby TOP 14, basket Pro A, stade d'eaux vives, football L2, sports équestres, handball Billère.Ville agréable, on y trouve des commerces, hôtels, restaurants, bars à ambiance, cinémas et de nombreuses activités de loisirs. Localisation Le 4e se situe en bordure de l’aéroport de Pau-Pyrénées, à proximité de la ville de Pau, préfecture des Pyrénées-Atlantiques. Idéalement situé en région Nouvelle-Aquitaine, le régiment se situe à 1 h 15 de l’océan Atlantique, à 1 h 15 de la montagne, à 2 h de Bordeaux et 2 h de Toulouse. Quartier de Rose BP 1143 64230 Pau Cedex France L’aéroport de Pau-Pyrénées est à 5 minutes du régiment, par voie routière. La gare SNCF se situe au sud de Pau à environ 20 minutes du régiment, par voie routière. Aérocombat Logistique & Transport Renseignement Maintenance Informatique & Télécoms Administration & Services Forces spéciales
Aujourdhui, à 32 ans, elle est pilote au sein du 4e Régiment d'hélicoptères des forces spéciales (RHFS) de l'armée de terre française, basé
Le colonel Arnaud Cazalaa, nouveau chef du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales julie verdom Par publié le 6 juillet 2012 à 0h00, modifié à9h16. C'était en quelque sorte une première. Hier, un enfant du pays, dont la famille est originaire de Pau et Soumoulou, a accédé au commandement du 4e RHFS hélicoptères des forces spéciales à la faveur d'une passation de pouvoirs sur la base de Sauvagnon. Saint-cyrien, le colonel Arnaud Cazalaa, 43 ans seulement, a succédé, pour 2 années, au colonel Yann Poincignon au terme d'une cérémonie présidée par le Général Brousse. Avant de devenir patron du "4", régiment à part entière depuis août 2008, ce jeune père de famille nombreuse 5 enfants dirigeait sur la même base le bureau Emploi de l'état-major de la brigade des forces spéciales Terre. Pour mémoire, cette dernière, qui vient de fêter sa première décennie d'existence, réunit 2 500 hommes dans le sud-ouest, dont environ 300 en Béarn. C'est de là que partent ces militaires appelés n'importe sur la surface du globe pour des missions souvent classées secret défense. Le nouveau chef de corps s'est d'ailleurs trouvé engagé, ces 20 dernières années, sur tous les théâtres d'opérations où l'on trouvait des forces spéciales, une "famille" qu'il a intégrée en 2005. Le nouvel élu a aussi été premier commandant du groupe interarmes d'hélicoptères basé à Villacoublay. Or, c'est également là que stationnent deux des six escadrilles composant la flotte du 4e quelques-uns de ces 40 aéronefs basés en Béarn Tigre, Puma, Cougar... ont pris l'air pour un défilé en l'honneur du nouveau chef. L'Etap a elle aussi vécu un changement de chef de corps. Son 26e commandant est le Lieutenant-colonel Christophe Bultez, un nordiste de 43 ans, en provenance du commandement des forces terrestres, à Lille. Ce Saint-cyrien, père de 3 enfants, assure la succession de Laurent de Bertier de Sauvigny qui va rejoindre l'état-major de la 11e brigade parachutiste. L'école béarnaise vient justement d'y être rattachée.
Laministre des Armées Florence Parly était à Pau ce jeudi 13 juin pour faire le point sur la lutte contre le terrorisme. Elle a félicité les forces spéciales militaires, dont un
Description Caractéristiques Résumé Photos de Henri-Pierre Grolleau Détails produit Beau livre, relié, illustré. Caractéristiques Poids kg Dimensions × cm Date de parution 11/12/2015 Langue français Nombre de pages 160 pages EAN13 ou ISBN 9782357431423 Éditeur Marines éditions Autres livres à découvrir...
Le4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales basé à Pau est une unité d’élite méconnue mais unique en France. « Nulle part sans nous », telle est la devise du 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS) basé quartier de Rose, au nord de Pau.Devise qui fait ici sens : « Notre régiment a participé à toutes les opérations spéciales majeures

L’armée de terre a communiqué les noms et les biographies des cinq militaires décédés ce vendredi dans le crash de deux hélicoptères gazelles dans le Var. L’accident s’est produit lors d’un vol de formation en vue d’obtenir une nouvelle qualification a précisé l’armée de Terre. Dans un communiqué, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, fait part de sa profonde tristesse et présente ses sincères condoléances aux familles, aux proches des cinq pilotes décédés, ainsi qu’à leurs camarades de l’aviation légère de l’armée de Terre”.Rappelons que l’enquête a été confiée à la section de recherches de la Gendarmerie de l’ Stéphane Chaon Ecole de l’aviation légère de l’armée de Terre EALATNé le 20 décembre 1973 à Grenoble 38, le lieutenant-colonel Stéphane Chaon a servi la France durant plus de 23 1er octobre 1994, il s’engage au titre de l’école nationale des sous-officiers d’active de Saint-Maixent. Il continue sa formation à l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre à Dax et obtient brillamment son brevet de pilote. Il rejoint le 3e régiment d’hélicoptères de combat à Etain le 22 janvier 1996. Il participe à une opération extérieure en ex-Yougoslavie du 3 mars au 26 juin 1999, il est admis à l’école militaire interarmes de Coëtquidan. Brillant et obtenant des résultats éloquents, il se classe 3e de sa promotion sur 153 élèves officiers. Il est nommé lieutenant le 1er août 2001 et rejoint à cette date l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre pour continuer sa formation technique. Volontaire et perfectionniste, son aisance et son assurance lui permettent de devenir très rapidement un excellent chef de 2002, il est affecté au 5e régiment d’hélicoptère de combat de Pau en qualité de chef de patrouille. Particulièrement expérimenté, il possède une excellente maîtrise technique et tactique et s’investit dans l’instruction qu’il affectionne tout particulièrement. Le 1er août 2005, il est promu capitaine. Il est muté en juillet 2007 au groupement aéromobile de la section technique de l’armée de Terre à Chabeuil et prend le commandement de l’escadrille des moyens aériens. Officier particulièrement rigoureux, il permet à son escadrille de réaliser l’ensemble des missions d’expérimentations et obtient ainsi d’excellents 2009, il rejoint l’école franco-allemande au Cannet-des-Maures en qualité de chef de cellule gestion des moyens, puis en tant que responsable de l’organisation des tirs. Faisant preuve d’une très grande capacité d’analyse et de synthèse, il agit avec rigueur et professionnalisme. Il obtient le diplôme d’état-major en 2010 et est promu commandant le 1er août 2011. Ses grandes qualités de pédagogue l’amènent, en 2013, à rejoindre la base école général Lejay en qualité de chef de la formation hélicoptère reconnaissance attaque ». Il s’implique dans la réorganisation des capacités de la division. Il est promu lieutenant-colonel le 1er août lieutenant-colonel Chaon qui totalisait 2500 heures de vol est titulaire de la médaille d’or de la défense nationale et de la médaille commémorative française avec agrafe ” ex-Yougoslavie”.Il était marié et père d’une Patrick Vasselin EALATCapitaine VasselinNé le 18 novembre 1965 à Vitry-sur-Seine 94, le capitaine Patrick Vasselin a servi la France pendant plus de 33 ans. Il intègre l’école nationale des sous-officiers d’active le 1er octobre 1985. Passionné d’aéronautique, il poursuit sa formation à l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre EALAT à en 1986 au 1er régiment d’hélicoptères de combat à Phalsbourg comme pilote hélicoptère d’attaque, il montre d’emblée un goût prononcé pour les responsabilités et le commandement. Il prend part à l’opération Daguet en Arabie Saoudite en 1990 où il s’illustre en participant à sept missions de reconnaissance offensive. Qualifié chef de bord sur hélicoptère léger appui protection et antichar » l’année suivante, il complète sa formation en obtenant le certificat tireur missile HOT .Le 1er août 1994, il est muté au 3e régiment d’hélicoptères de combat à Etain. Chef de bord expérimenté et aguerri, il effectue une mission en mer à bord du transport de chaland de débarquement Siroco en 1998. Travailleur inlassable, il réussit successivement son brevet de moniteur sur hélicoptères et le concours d’admission des officiers d’active des écoles d’armes. Il rejoint ainsi l’Ecole d’application de l’aviation légère de l’armée de terre au Cannet-des-Maures en 2000 pour y effectuer sa scolarité. Déterminé et motivé, il termine brillamment sa formation d’officier par l’obtention de la qualification de chef de 2001, il est affecté au 6e régiment d’hélicoptères de combat à Compiègne. Chef de patrouille et moniteur compétent, il transmet avec enthousiasme et pédagogie son savoir-faire aux jeunes pilotes. En janvier 2002, il est engagé comme chef de patrouille au Kosovo puis il embarque en décembre sur le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc. En 2004, il est à nouveau projeté au Kosovo, puis en République de Côte d’Ivoire. Il manifeste durant ces opérations de très belles qualités 1er juillet 2007, il est muté au 1er régiment d’hélicoptères de combat à passionné par son métier, il est apprécié pour son goût de l’effort et son exemplarité en toutes circonstances. C’est tout naturellement qu’il se voit ainsi confier le commandement de l’escadrille de commandement et de logistique en 2010. A la tête de son unité, il emporte aisément l’adhésion de ses subordonnés et obtient d’excellents l’été 2012, il retrouve l’école de l’aviation légère de l’armée de Terre au expérimenté et chef de la filière tactique, il s’implique dans la conception et dans la conduite de la réorganisation des actions de formation et réalise un travail de très grande capitaine Patrick Vasselin qui totalisait 5400 heures de vol est chevalier de l’ordre national du mérite, titulaire d’une citation avec attribution de la croix de guerre des théâtres d’opérations extérieures, titulaire de la médaille de l’aéronautique, de la médaille d’or de la défense nationale, de la médaille outre-mer avec agrafe “ Tchad “, “République de Côte d’Ivoire”, “Moyen-Orient”, et de la médaille commémorative française “ex-Yougoslavie”.Agé de 52 ans, il était marié et père de quatre François Mille EALATFrançois MilleNé le 1er avril 1982 à Dieppe 76, le capitaine François Mille a servi la France durant plus de 16 1er septembre 2001, il s’engage au titre de l’école nationale des sous-officiers d’active à Saint-Maixent l’Ecole. A l’issue de sa formation initiale, il choisit de servir à l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre à EALAT Dax et entame sa carrière dans le domaine de l’ élève, il obtient son brevet de pilote d’hélicoptère et rejoint en juin 2003 le 3e régiment d’hélicoptères de combat stationné à Etain. Après quelques mois de présence au régiment, il est projeté en République de Côte d’Ivoire dans le cadre de l’opération Licorne comme pilote de combat sur Gazelle ». Il accomplit chacune de ses missions avec professionnalisme. Il effectue deux autres mandats en République de Côte d’Ivoire en 2005 puis en 2006. Il est à nouveau désigné pour servir en Afghanistan en 2009 puis en 2010 en qualité de pilote puis chef de bord. Ses compétences techniques et ses connaissances tactiques contribuent à l’excellente réalisation des missions opérationnelles qui lui sont confiées et font de lui un élément moteur au sein de son unité. Participant à de nombreuses opérations aériennes dans des conditions délicates en territoire hostile, il démontre au quotidien l’étendue de son de remarquables qualités professionnelles et humaines, il est recruté en tant qu’officier sous contrat pilote et est promu lieutenant le 1er septembre l’été 2012, il est affecté à l’Ecole de l’aviation légère de l’armée de Terre au Cannet-des-Maures. Motivé et soucieux d’aller toujours de l’avant, il obtient la même année sa qualification de moniteur sur hélicoptère de reconnaissance et d’attaque. Très attaché à la qualité de la formation dispensée et doté d’une riche expérience, il s’impose naturellement auprès des stagiaires. Sa disponibilité et son investissement personnel sont unanimement appréciés et reconnus. Il obtient en 2016 sa qualification de chef 3100 heures de vol, il était titulaire de la médaille d’or de la défense nationale, il est également décoré de la médaille d’outre-mer avec agrafe République de Côte d’Ivoire » et de la médaille commémorative française avec agrafe Afghanistan ». Au cours de sa carrière, il est félicité puis cité à deux reprises, dans le cadre du plan HEPHAISTOS puis dans le cadre de l’opération PAMIR en de 35 ans, marié et père de deux enfants, le capitaine François Mille est mort en François Gibert 4 ème régiment d’hélicoptères des forces spéciales RHFSiFrançois GibertNé le 23 mai 1988 à Roanne 42, le capitaine Quentin Gibert a servi la France durant plus de 10 1er novembre 2007, il s’engage en qualité d’élève sous-officier à l’école nationale des sous-officiers d’active de Saint-Maixent. Il est nommé sergent le 1er mars 2008. A l’issue de sa formation initiale, il rejoint l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre EALAT de Dax le 30 juin 2008. Travailleur consciencieux, il s’investit totalement dans l’instruction dispensée au cours de pilotage. Enthousiaste et dynamique, il obtient aisément l’adhésion de ses pairs. er erBreveté pilote, il est nommé aspirant le 1 avril 2010 et rejoint le 1 régiment d’hélicoptères de combat de Phalsbourg le 19 avril. Extrêmement motivé par sa spécialité de pilote sur hélicoptère de reconnaissance et d’attaque, il prend à cœur ses nouvelles fonctions. Il progresse régulièrement tant sur le plan tactique que technique. Il est nommé sous-lieutenant le 1er avril mars à juillet 2013, il sert en renfort temporaire au sein du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre à Djibouti. Très disponible, il se porte ensuite volontaire pour suivre des stages de qualification opérationnelle et poursuit sa carrière en escadrille de combat. Il est promu lieutenant le 1er avril 2012. Il se perfectionne alors et obtient les qualifications survie en mer, vol tactique et janvier à avril 2014, il est projeté au Mali au titre de l’opération “Serval” en qualité de pilote sur hélicoptère “Gazelle”. Ses excellentes qualités humaines et techniques, sa rigueur et son calme lui permettent de s’illustrer lors de missions de reconnaissances périlleuses en vallée d’Ametetaï. A son retour en métropole, il prend la fonction d’adjoint au chef de la cellule opérations de l’escadrille. Il suit un stage de survie OTAN en Norvège. Il est promu capitaine le 1er avril 1er août 2016, il est sélectionné pour servir au 4ème régiment d’hélicoptères des forces spéciales à Pau et rejoint la 2e escadrille des opérations spéciales. Qualifié opérateur régiment hélicoptères actions spéciales » ORHAS, toujours sur GAZELLE », il sert à nouveau en opération extérieure en bande sahélo-saharienne. Il est ensuite de nouveau projeté de juin à août 2017 pour un exercice sur le territoire de capitaine Quentin Gibert qui totalisait plus de 1100 heures de vol dont 260 de nuit est titulaire de la médaille outre-mer et de la médaille d’argent de la défense nationale. Il était âgé de 29 ans et Sébastien Greve 4 ème régiment d’hélicoptères des forces spéciales RHFSSébastien GreveNé le 11 mars 1987 à Valence 26, le lieutenant Sébastien Greve a servi la France durant plus de neuf 26 février 2009, il s’engage en tant qu’officier sous contrat pilote et rejoint les écoles de Coëtquidan. Nommé aspirant à compter du 1er avril 2009, il s’investit dans sa formation et manifeste un goût de l’effort prononcé. Il poursuit ensuite son cursus et rejoint l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre EALAT à Dax le 30 juillet 2009. Elément moteur au sein de son stage, il est très apprécié pour son comportement exemplaire et sa rigueur. Il obtient son brevet de pilote de combat sur hélicoptère Gazelle » le 1er juin est affecté au 1er régiment d’hélicoptères de combat à Phalsbourg le 14 juin 2011. Jeune officier, il est un pilote sérieux et assidu dans la poursuite de ses formations et obtient rapidement ses qualifications complémentaires. Il est promu sous-lieutenant le 1er mars 2013. Pilote opérationnel performant et excellent sportif, il est particulièrement motivé pour le domaine de l’aérocombat. Il est également qualifié officier renseignement et promu lieutenant le 1er mars en opération extérieure en République Centrafricaine, au sein du sous-groupement aéromobile de l’opération Sangaris d’octobre 2014 à février 2015 en tant que pilote sur Gazelle Viviane, il fait preuve à la fois d’endurance, de rusticité, de professionnalisme et de sérénité sachant ainsi s’adapter à toute situation et faire face aux missions complexes qui lui sont réussit les tests de sélection et rejoint le 1er août 2016 le 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales en tant que pilote Gazelle ». Il réussit brillamment son stage d’ opérateur régiment hélicoptères actions spéciales » ORHAS. Officier d’une grande droiture morale et donnant en permanence le meilleur de lui-même, il s’intègre aisément au sein de son escadrille et s’imprègne très vite de l’état d’esprit des forces 900 heures de vol dont 200 de nuit, le lieutenant Greve est titulaire d’une citation avec attribution de la croix de la valeur militaire avec étoile de bronze le 1er septembre 2015, de la médaille outre-mer avec agrafe “République de Centrafrique” et de la médaille d’argent de la défense nationale le 1er janvier de 30 ans, il était marié et père de 4 enfants.

Le4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales organise un exercice tactique avec le 35e RAP sur Tarbes et ses environs ce mardi soir. Quatre hélicoptères de combat vont réaliser des déposes et des récupérations sur plusieurs sites au coeur de l'agglomération. Pas d'inquiétude à nourrir à la vue d'engins militaires dans le Anonymat oblige, on ne l'identifie que sous son nom de guerre, "Mathilde". Enfant, elle rêvait de "voler en étant militaire". Aujourd'hui, à 32 ans, elle est pilote au sein du 4e Régiment d'hélicoptères des forces spéciales RHFS de l'armée de terre française, basé à l'école d'officiers de Saint-Cyr et trois ans de formation supplémentaire pour devenir pilote, "Mathilde" se porte volontaire en 2012 pour servir au 4e RHFS. Une unité d'élite, spécialisée dans le combat aérien ainsi que dans les opérations d'infiltration et d'exfiltration des équipes de commandos par tout temps, en tout lieu et principalement de "Mais, ils ne prennent pas de filles!", objecte son chef de l'époque. - "C'est écrit où?", lui avait rétorqué l' l'armée de terre? "Non", assure à l'AFP la jeune femme blonde. "Ce n'est pas un milieu macho, mais au début dans les régiments d'hélicoptères, ils n'étaient pas habitués. Ils se demandaient comment ils allaient faire avec nous", un effectif de 400 personnes dont plus de 100 pilotes, le 4e RHFS, qui participera mardi au défilé aérien du 14 juillet sur les Champs-Elysées, compte aujourd'hui dans ses rangs trois femmes combattantes, dont "Mathilde".Enfant, "Mathilde" voulait être médecin ou vulcanologue mais surtout voler. "Il y avait un aéroport à proximité de ma maison. Petite-fille de militaire, je voulais voler en étant militaire. J'ai allié les deux."Aux commandes d'un hélicoptère de type Caracal EC725 avec un équipage composé de cinq personnes, la jeune femme assure différents types de missions, "du transport de matériel au contact avec l'ennemi.""Nous intervenons dans la région du Sahel. Nous agissons souvent la nuit. Le plus compliqué, c'est de se poser dans le sable car le souffle de l'hélicoptère engendre un énorme nuage de poussière. Dans ces moments-là, on n'a pas le droit à l'erreur, il faut être vigilant, surtout si on est sous le feu ennemi", Trois camarades décédés -Selon elle, les qualités requises pour être pilote d'hélicoptère des forces spéciales ne sont pas fondamentalement différentes de celles nécessaires à tout militaire "sang-froid, maîtrise de soi, sérieux, concentration", détaille-t-elle. "J'ai eu la chance d'avoir toujours pu ramener tout le monde", sourit "Mathilde"."Mais, depuis que je suis pilote, j'ai perdu trois camarades autour de moi, dont un copain de promo. Il est décédé dans un accident d'hélicoptère en Afghanistan. Puis il y a eu Damien Boiteux, en janvier 2013 au Mali, le premier mort de l'opération Serval, et l'adjudant Samir Bajja en 2014 au Sahel, tous deux du 4e RHFS", se souvient-elle avec émotion."Là, on se pose des questions. Il faut accepter, laisser mûrir. On ne sait jamais comment on va réagir psychologiquement et physiquement." La jeune femme se félicite d'avoir été préparée à affronter de telles difficultés lors de son passage à Saint-Cyr."On nous a fait réfléchir sur le sens de l'engagement, jusqu'au sacrifice suprême", dit la pilote. "C'est très important, car une fois en mission nous sommes concentrés sur sa réussite, c'est trop tard pour les problèmes existentiels".Comment concilier de telles exigences avec une vie de famille? Une des difficultés du métier, répond la jeune femme, mariée, sans enfant."C'est difficile, pas seulement pour les femmes, mais pour tous les militaires. La spécificité, c'est que la femme doit être la maman", estime "Mathilde", qui espère trouver le bon moment pour devenir mère. Mais "c'est le lot de toutes les femmes qui ont un métier prenant", se l'immédiat, tout ce qu'elle souhaite c'est "partir en mission".13/07/2015 123551 - Pau AFP - Par Colette LARRABURU - © 2015 AFP Endurancedes jambes et résistance musculaire Enchaînez de temps en temps, séance de course à pied et séance jambes. Courez à un rythme chronométré sur 2,5 km
Safran Electronics & Defense a signé avec Airbus Helicopters, maître d’œuvre, un contrat portant sur la fourniture d’Euroflir 410 de nouvelle génération pour équiper les dix hélicoptères NH90-TTH Caïman au standard 2 destinés aux forces spéciales françaises. Ce nouveau standard permettra d’assurer l’ensemble des missions de manœuvre et d’assaut. Capables de détecter et d’identifier des menaces à plusieurs kilomètres, les systèmes optroniques Euroflir 410 de nouvelle génération permettront aux forces spéciales françaises de renforcer leurs capacités opérationnelles et d’accomplir leurs missions les plus complexes, de jour comme de nuit, dans des conditions météorologiques très fortement dégradées. Développé et produit en France par Safran, l’Euroflir 410 est compact et modulaire et apporte des performances d’observation inégalées, quelles que soient les conditions de visibilité, grâce notamment à l’intégration d’un télescope multispectral très longue portée et à une stabilisation très performante de la ligne de visée. De plus, sa simplicité d’intégration à un système de missions et son association avec le dispositif optronique large champ Eurofl’eye, permettent d’exploiter de façon optimale toutes ses fonctions et de baisser la charge cognitive du pilote et du copilote. Avec cette sélection, Safran confirme sa position de leader technologique européen sur le segment particulièrement exigeant de l’optronique embarquée. Dix NH90 TTH Standard 2 seront livrés au 4e RHFS Régiment d’hélicoptères des forces spéciales à partir de 2025 et remplaceront progressivement les PUMA de l’armée de Terre, conformément à la dernière loi de programmation militaire de l’administration française.
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